Une longue soirée pv Simon

Marie-Anne était parti en promenade loin du château de Wamister.Il commença à faire noir et elle avait peur. Elle s’avait se faire discrète et même s'encanailler. Comme il n’y avait plus de place, elle s’assit près d’un homme qui aimait la chair fraîche des jeunes femmes. Elle garda sa capuche sur ces cheveux ébène. L’homme remarqua la timidité de la jeune femme et la colla un peu.

-Femme vous savez qu’il est dangereux se promener seule la nuit surtout pour une si belle femme comme vous.

-Quelle est votre nom ma belle enfant ?

Marie-Anne ne parla point et regarda sa soupe devant elle.

-Femme répond moi.
-Monsieur ne me parlez point comme cela.

-Va t-en faire parler moi mieux que ça. Tu es une femme et tu dois obéissance aux hommes.

L’homme ôta la capuche de Marie-Anne et l’embrassa passionnément.

-Lâchez moi a la fin. Je suis Marie-Anne de Dyefed et je vous ordonne de me lâcher.

-Mouah tu te fais passer pour une noble, on t'a jamais vue dans le coin alors aussi bien en profiter pour te faire la bienvenue dans un lit de la taverne. Crois moi tu ne va pas regretter.

Le saxon pris Marie-Anne par le bras et la tira vers sa chambre.

-Lâchez moi.

Par cette parole le saxon la frappa.

-Tu va arrêter femme. Tu sois paysanne ou comtesse tu va goûter à mon charme..

Il tira Marie-Anne sur le lit et commença à délacer la robe de Marie-Anne avec vigueur.La jeune femme était en corset et en jupon a cet instant.La princesse ce débâti du mieux quelle pouvait mais le saxon avait le dessus sur elle

L’homme saxon était en train de préparer sa catin pour passer à l’acte.
Marie-Anne vu Sir Simon malgré la vue quelque peu bouchée par la colosse bête barbare.

-Sir Simon ?

Marie-Anne était surprise de le voir à cet endroit.

-Qu’est ce qui vous amène ici ? En tout cas, je suis bien heureuse de vous voir en cette situation un peu spéciale que je n’ai point désirée croyez-moi.

Elle avait vu l’ancien intendant arrivé à son secours. En plus quelle idée avait-elle eu de partir à l’improvise sans prévenir personne. Savoir qu’elle aurait été dans la couche d’un saxon elle n’aurait jamais quitté le confort de ses appartements.

Probablement le saxon avait pris plus de boisson que d’habitude. Une taverne n’était pas le lieu d’une femme et encore moins une princesse d’Orcanie.

Marie-Anne avais les larmes aux yeux et elle était apeurée par cet homme qui était immense.

- Merci beaucoup Sir Simon. Je ne bois plus depuis déjà bien longtemps.

Elle recracha le liquide.

- Dégoûtant. On dirait du je-ne-sais-quoi, mais ouf cela n'est certainement point un bon alcool.

Elle remit sa robe.

-Pour répondre à votre question, pourquoi j’étais si loin de Warminster? Je recherchais des plantes pour soigner ma petite fille Ariane. J’étudie l’herboristerie dans mon temps libre. Cela sera sûrement utile plus tard.

Elle sorti un livre de sa bourse et mit la fleur rare coupée avec plusieurs autres plantes dans celui-ci.

-Sir de Reims je sais que cela est un peu spécial mais je ne veux prendre de risque et devenir votre prochaine conquête... que voulez vous les murs ont des oreilles.

-Je sais que vous avez eu beaucoup de conquêtes dans votre lit. Je ne veux pas vous offenser mais ce n’est point une façon pour un chrétien d’agir. J’ai été élevée par des gens très croyants donc.

-Vous pouvez me faire la cour cela ne me dérange point. Je n’ai point envie d’avoir la relation qui était en train de se passer avec le saxon.

- J’ai juré devant dieu d’aimer et chérir Gareth. J’aime Gareth et je ne veux pas le décevoir.
Au grand jamais je ne trahirais mon amour !
J’espère que vous avez compris mon point de vue...

J’ai un service à vous demander, j’aimerai bien que vous couchiez dans ma petite chambre que j’ai loué ce soir pour me protéger au cas où. Je crois qu'il n'y a pas cent solutions. Je ne veux pas que vous dormiez par terre donc je crois que vous devriez dormir avec moi si cela ne vous dérange point.

Elle trembla de tous son être après cet événement qui resterait surement dans sa mémoire pour le reste de sa vie. Des larmes soula encore sur ces joues et avais encore les larmes aux yeux. Elle regarda sans relâche la porte au cas que l’homme change d’iddes.Ses vêtement était abimé légèrement par chance. Quelle noble dame saurait promener avec des vêtements souillés.


-J’ai eu la peur de ma vie. Si vous ne seriez pas été la je n’ose pas penser a ce qui aurais pu arriver à mon honneur monsieur. Je vous en remercie énormément.

Au même instant elle revit le visage de son doux aimant.
Si il aurait fallu qu’elle perd son amour à cause de ce saxon elle aurait surement mourus de peine de plus avoir l’amour et la tendresse de Gareth.Elle regarda la largeur du lit de l’auberge il n’était pas très large et surtout qu’il n’avait point de couverture comme dans sa chambre, surment que Simon allais avoir froid tout la nuit. Un moins c’était une façon de garder le charmeur de ces dames loin de son être.-

Je suis honteuse de vous laisser vous coucher à mes pieds mais je ne veux que personne d’entre nous sois excité par le désir charnel de la chair donc je vous donne l’ordre de rester a mes pieds M.de Reims.

Les loups avaient hurlé toute la nuit à la pleine lune.
L’aurore allait bientôt se lever et les canins avait arrêté de hurler depuis peu. Marie-Anne se réveilla, mais resta dans ses chaudes couvertures. Il faisait un froid de canard! le tavernier avait chauffé toute la nuit le bois dans sa cuisine? mais malheureusement c’était comme si il n’avait rien fait. Il était bon de faire la grasse matinée mais il était le temps de se lever. Le premier geste que Marie-Anne fit : elle mit sa robe et sa cape. Elle réveilla, ensuite, Simon :

-Je crois qu’il est temps de se mettre en route! l’aurore est sur le point de se lever. Je vous ai mis du pain, diverses noix et un peu de fromage de côté dans une assiette, pour votre déjeuner.Il ne reste qu’à seller les chevaux et nous pouvons partir.

-Auré, monseigneur
La damoiselle parti en reconnaissant la voix de Marie-Anne et le regard qu'elle avait, soit, celui de sa mère.

-Vous avez vraiment une faim de loup Sir Simon! Vous voulez que je mange un jambon à moi seule? vous ne trouvez pas cela un peu...trop?!

Elle regarda vers la professionnelle,elle était bien loin d'elle et Simon.Elle ne voulait pas qu'elle vienne s'asseoir avec eux, à leur table, cela était vraiment gênant, un peu, et même énormément déplacé, qu'une dame de la royauté soit assise avec une traînée, mais elle repensa a ses paroles.Peut être la pauvre femme n'avait pas d'autre choix, que faire cela.La vie lui ne lui avait pas offert de bonnes choses.Elle regarda la dame de plus près, et reconnu la personne en question .C'était Aurélienne Delafortune .Elle était connue dans tout les Orcades pour ses vols auprès de la famille royale, c'était une dame que son père avait prise pour maîtresse!