Discution entre l'intendant d'austrasie et Marie-Anne

Marie-Anne avait décidée ce matin la d'allez voir l'intendant d'Austrasie malgré le passée assez mouvementer qui c'était passée il avait presqu'un deux ans. Elle frappa a la porte de Nathan et son cœur arrêtais presque au moment au Nathan répondis. Elle rentra dans l'appartement et restait timide

-Bonjour votre excellence. J’ai beaucoup entendu parler de vous.

-Je me présente Marie-Anne de Dyefed, comtesse de Dyefed

La jeune femme fit une révérence à l'homme et paralysa

- Pardonnez-moi ma timidité, vous êtes une personne très haute de distinction et j'ai peur de faire une erreur.

-Je suis une simple fille de seigneur qui est devenue du jour à l'autre l'épouse du défunt comte de Dyefed que dieu est son âme. Maintenant je suis dirigeante des terres du comte car mon mari et mort pendant une quête pour retrouver le graal.

-Si je vous offense votre excellence dite moi le tous de suite sa serais très gentil de votre part.

-Aujourd'hui je suis venu vous demandez certain détail à propos de la supposé dragonne d'Austrasie et des légendes sur votre beau royaume.

-J’étais mis au service de la petite-fille de votre roi sa majesté le très grand roi Marth.-Si vous avez point de temps pour moi je comprendrais alors votre excellence.

La jeune femme commença à devenir très nerveuse un peu plus c’était la crise d’Hyperventilation.

Nathan était seul dans son bureau, et juste derrière lui on pouvait voir un portrait de son épouse, Dame Erwana. Magnifique portrait ou on la voyait, rayonnante, dans sa robe de mariée. Oeuvre painte et payée avant la draconique catastrophe.

Il se leva pour accueillir la dame et lui sourit timidement.

"Et bien, enchanté de vous rencontrer. Prenez donc un siège. Je suis moi même vicomte de Metz et orphelin de par la dragonne.
Comme vous le savez peut-être, je suis aussi marié, et vous?"

Demanda Nathan, retournant derrière son petit bureau. Bureau encombré de papiers divers. Tous ayant trait à l'Austrasie.

"Vous ne m'offensez aucunement, pourquoi m'offenserez vous? Allez prenez un siège. Désirez vous boire quelque chose?"

Une domestique était apparue à un quelconque signal.Une petite brune passant inaperçue, Effectivement, Nathan n'y prétait guère attention.

Marie-Anne regarda le Vicomte.

*Pour être polie je vais lui demandez qui est Erwanna*

-Je viens de voir la magnifique dame dans sa robe de marier donc cette dame votre épouse. Qui est-elle le nom de votre femme votre excellence ? Elle a l’air d’un ange sur cette peinture.

-J’ai été marié et je serais nouvellement remarier à un homme si bon et tendre.

La jeune femme baissa la tête.

-Le prince Gareth d’Orcanie ma comment dire….? Je ne sais comment le dire sans pour être prétentieuse votre excellence.
-Ma demandez de l’épouser.
Nous sommes fiancées depuis peu.
Après la naissance des enfants de mon défunt mari, il m’a fait la grande demande.

-Comment refuser à votre prince et à votre cousin lointain cette demande en mariage qui risque de changer votre vie à jamais.

Vous avez pu le contrasté que je suis très timide devant les gens de la haute noblesse. Je ne sais comment je vais faire quand je serais officiellement la femme du frère de notre suzerain.

-J’aimerais bien avoir un verre de jus de pomme si cela n’est point trop demander votre excellence

Nathan sourit et écouta la demoiselle de façon bienveillante.
Il prit note de ce qu'elle disait et lui déclara alors.

"Félicitation Princesse! Je vous souhaite beaucoup de bonheur!
Quand à ma femme, c'est Dame Erwana, Vicomtesse de Metz et dame de compagnie de Sa Majesté Morgause."

Déclara aimablement Nathan. Il voulait mettre la miss à l'aise. Cependant la bonniche déclara brutalement que le château n'avait plus de jus de pomme.

"Apportez de l'hydromel alors."

Demanda Nathan avant de s'excuser à la demoiselle.

Votre excellence ne m’appeler jamais plus princesse, je déteste et je ne mérite point cette honneur de votre part. J’aimerais savoir quelle que choses est ce que le roi Marth avait donné une bague a la princesse Élisabeth ? Car j’ai retrouvé cette bague par terre et ressemble à une bague austrasienne. En plus j’avais vue ma cousine porter cette bague aux doigts de la marier.

Ont ma donner les appartements de ma cousine donc je crois alors que cette bague dois être redonnez au roi Marth et offert a ma grand tante la reine Morgause

Marie-Anne sorti sa chainette au pendais la bague que Marth lui avais donné quand elle avait été marié avec et la donna à Nathan.

-Fait lui le plus attention possible car ces les seuls souvenirs qui me reste de ma cousine.

Nathan opina du chef lorsque la dame posa deux verres de vin et se retira. Nathan, remarqua l'objet et ne comprit pas tout de suite: il était trop jeune pour avoir connu Nicole de Poitier, la concubine de Theodoric.

"Je n'ai jamais vu la bague alors je...laissez moi regarder."

Nathan saisit la bague et l'examina. Nicole & Theodoric. Voila ce qui était gravé à l'intérieur de la bague. Nathan comprit aussitôt mais son cerveau était comme figé. Nathan se promit donc d'apporter la bague à Morgause. Elle seule déciderait.

Est-ce vraiment la bonne bague votre excellence ?

La jeune princesse bue a sa coupe.

-Mmmm !!!! Très bon vin excellence.

-Avez-vous des enfants votre excellence ?

-Foutu soulier ils sont trop petit. Lacha-t-elle

-Pardonnez- moi je suis encore beaucoup enflé de mon accouchement et mes souliers me font terriblement mal.

-Je dois les ôtés je sais que cela et mal vue mais sa me fait terriblement mal.

Marie-Anne ôta ses souliers et Nathan pouvais voir de petit pieds tous rouges.

Marie-Anne massa ses pieds pour se faire du bien.

-Je crois je vais devoir retourner à mes appartement avant que cela sois pire votre excellence.

-Pardon votre excellence.

La jeune femme se leva pris ses souliers et leva sa robe a d’une façon a ce que Nathan puisse voir ces chevilles et le début de ses grandes jambes mince très séductrice.

Nathan goûta au vin, écoutant Marie.

"'Merci Dame Marie. Excellent vin en effet."

Nathan souleva un sourcil étonné lorsque Marie jura à propos de ses souliers et il fut étonné de la voir pieds nus. De petits pieds rougis, luisant de transpiration, avec quelques poussières laissées par les souliers de cuir.
Cela étonna Nathan qui devint rouge comme une tomate et respira plus vite. Croyant que Marie faisait des avances, la boniche s'éclipsa, silencieusement.

"Je... Je n'ai pas d'enfants. Le fils et la fille d'Erwana ont Sir Marth pour père."

Balbutia Nathan.

"Mais j'aimerais avoir beaucoup d'enfant. Autant que possible."

Avoua, gêné, le jeune intendant..

" Mais ôtez donc vos souliers, restez donc ici."

Proposa timidement Nathan. S'étant levé pour parler à Marie, qui était debout, Il ne pouvait détacher ses yeux des pieds nus et des jambes de la demoiselle. Cela lui faisait honte.

"Vous souhaitez un massage?"

Marie-Anne souris

Marie Anne monta sa jupe aux genoux et regarda le vicomte.

-Pardonnez moi mais êtres mère a parfois des désavantage pour l’étiquette.

-Il y a environ un j’ai accouché de jumeaux Gauthier et Ariane. De vrai petit amour.

-Malheureusement mon défunt mari souhaitait tellement avoir des enfants et ne le fera point grandir, cela me fait énormes de peine. Le prince Gareth sera comme leur père.

-Le roi Mordred a tellement été gentil envers mes enfants, il les a nommé prince et princesse d’Orcanie même si de son pas vraiment les enfants de Gareth. Le roi est vraiment très généreux.

Marie-Anne pris sont pieds est soufra de douleurs.

-Mon excellence serais t-il possible que je m’élonger sur un de vos divan et que j’ai de la glace pour mes pieds si cela n’est pas trop demander.

Elle montra ses pieds à Nathan.

-Est-ce que la glace est telle vraiment efficace pour une telle enflure excellence ?

-Je ne peux pas croire qu’en temps de guerre certain soldats a vos ordres n’ont pas souffert d’enflure comme cela ci.

Marie-Anne porta sa main à son collier et regarda Nathan avec un regard séducteur.

-Vous en dite quoi excellence ?

Nathan sourit à la jeune femme, gêné et timide. Elle devait le voir qu'il avait le regard rivé sur ses pieds.

"Installez vous sur le sofa, je vais m'occuper de vos pieds. Selon mon expérience les mains c'est encore ce qu'il y a de mieux."

Nathan attendit que Marie-Anne s'installe sur le divan, les pieds dépassant du divan, et Nathan vint s'agenouiller devant elle, luttant contre sa timidité. Étant près des pieds, chaque respiration remplissait un peu plus ses poumons de l'odeur de pied.

Timidement, il commença a les caresser avant de prendre plus d'assurance. Ses pouces dessinaient des cercles sur la voûte plantaire.

Marie-Anne le regarda et lui souffla à l’oreille. Merci beaucoup Nathan. J’apprécie vraiment. Elle tourna son visage angélique et tourna avec son doigt dans une mèche de ses cheveux.

-Vous êtes un dieu des massages de pieds votre excellence.

Marie-Anne ferma ses yeux.

Sa fais tellement de bien Nathan mmmmm!!!!

-Votre femme doit adorer cela, si non c’est un vrai gaspillage de talent.
-Moi en tous cas j’adore cela est divin

-J’aimerais avoir un massage de pieds comme cela a tous les soirs avant de m’endormir.

Marie-Anne leva délicament sa jambe et son pieds passa doucement et tendrement le visage de son excellence. Elle monta tranquillement et doucement son pieds a la joue et descendais jusqu'à la mâchoire de l’homme. À la fin du tendre massage de pieds, le pied divin de Marie-Anne était sur la bouche de Nathan.

Merci de se massage et voici le petit cadeau je vous est fait un massage a ma façon.

-Marie-Anne le regarda amoureusement.

-Merci Sir Nathan

-Serais t-il possible de ravoir du vin Sir Nathan ?

Nathan savourait les flatteries et fut surpris d'être caressé par le pied de Marie.
Puis par les pieds. C'était doux, agréable, et il aimait cela. Doucement, tendrement, il embrassa le pied posé sur ses lèvres, yeux clos. Jusqu'à ce que la jeune femme demande du vin.
Préférant ne penser à rien, il lui servit du vin.

"Votre verre Dame Marie."

Puis Nathan, qui était resté à genoux retourna aux pieds de Marie-Anne, et les caressa délicatement, posant ses lèvres dessus, embrassant chaque orteil.
Il aimait leur goût un peu salé. Et sans savoir comment, Nathan se retrouva à lécher les pieds de la jeune femme.

Vous avez l’air a aimé mes pieds Sir Nathan. Elle ria quand Nathan lui embrassa le pied.

-Sa chatouille excellence.

Elle bouga ses orteil quand Nathan embrassa ses orteil.

-Est-ce que c‘est la première vous faite cela a une femme beau Sir.

-La jeune femme toucha avec ses pieds a la chose qui fait un homme et commença à

l’embrassez tendrement.

-Ah vos lèves sont si douce un vrai pêché divin.

Elle passa sa main fine sur ces épaules et lui caressa le cou délicatement.

La jeune dame rentra sont pied le pantalon et dans le caleçon de Nathan avec son pieds quand elle l’embrassa.

Marie-Anne passa sa main sur sa cuisse de façon allez vient. Elle se plia un peu et mis sa jeune poitrine dans le visage de Nathan et en même temps elle embrassa le cou de Nathan.

-Ah Nathan, dieu de l’amour et de la passion fais moi de toi ton esclave et je serais tienne pour l’éternité.

Elle passa sa main dans ses cheveux et ressortie sa poitrine.

Nathan appréciait visiblement de s'occuper des pieds de Marie-Anne: elle était la deuxième femme qu'il touchait. Cependant il devint rouge pivoine lorsqu'un pied vint caresser son intimité afin de l'enflammer et avant qu'il ai pu dire quoique ce soit, ses lèvres se retrouvèrent unis à celles de Marie-Anne.

Il avait envie de se laisser aller. Mais il ne le pouvait pas. Il aimait sa femme. Il avait juste voulu devenir ami avec l'orcanienne.
Mais elle était allée trop loin.

Arrêtez! Je suis marié et vous fiancée!

Déclara-t-il. Nathan frissonna en sentant le pied chercher à le déshabiller alors qu'il cherchait à se redresser sur le sofa, refusant de blesser une miss qui caressait ses cuisses. Et soudain elle lui mit sa poitrine contre le visage. Nathan en fut ébahis! Quelle espèce de.... De Courtisane! Même dans une taverne les professionnelles étaient plus subtiles!
Nathan qui avait voulu rester gentil se redressa alors vivement du divan, tombant car il se prit les pieds dans son pantalon et son caleçon....
Sa tête cogna la table basse et il s'évanouit brièvement...
Il n'allait pas tarder à se réveiller.

-Je crois je suis allez un peu loin cette fois ouf. Je n’ai pas le droit de faire cela. Je dois être fidele à Gareth point.

Elle prit une potion d’oublie et ouvra la bouche de Nathan et lui fis avalée. Elle prit toute sa force est mis Nathan sur le divan et l'habilla

-Nathan réveillé vous. Je vous en pris revenez à vous

Elle déchira des morceaux de ses jupons et pris un bol d’eau froide et trempa plusieurs serviette et tour à tour elle les mit sur le front de Sir Nathan.

-Sir Nathan réveillé vous pour l’amour. Elle se mit à masser les pieds du jeune homme.
Nathan.

[i]Elle le brassa vivement. Elle se mit assoir dessue pour crée une certaine prestions qui le fera se réveillé

Nathan se réveilla avec un goût horrible dans la bouche. S'il s'en était souvenu, il aurait peut être avoué préféré le goût des pieds de la jeune femme à celui de la potion. Mais il ne s'en souvenait plus. Son dernier souvenir? Marie-Anne se déchaussant.
Et là il étaitcertes habillé mais Marie-Anne était assise sur lui, pieds nus, jouant les infirmières et il semblait évident à Nathan que les linges humides sur son front étaient des jupons. Ou du moins il lui semblerait évident dès qu'il ouvrirait les yeux.

"Erwana?"

Tel fut le premier mot du jeune homme en se réveillant.

"Dame Marie-Anne de Dyefed? Que faites vous sur.... Sur moi?"

Demanda Nathan,rouge comme une pivoine. Il n'avait jamais été aussi mal à l'aise.

-Vous vous réveillez point sir donc j'ai pris les grands moyens pour vous réveillé. Vous été vraiment très bien cogner sur la table donc j’ai agi comme toute bonne femme je suis venue à votre secours. Un accident bête ses passer vous vous masser les pieds et vous vous êtes cogné sur le coin de la table. J’ai eu vraiment très peur pour vous excellence. Parfois bien se cogné peut vous causer certain dommage à votre cerveau. Je crois que tous va bien allez maintenant. Je vais dehors reste un peu avec vous pour pas que vous vous endormez. Cette nuit dame Erwana va devoir vous réveillé a tous les deux heures pour voir tous va bien. Si non votre dame n’est point la cette nuit je n’aurais guère le choix de rester ici pour voir si tous est correct Sir. Pardonnez-moi mais je vais devoir rester. Je broderais un petit quelle que choses pour Gareth pendant la nuit comme petit cadeau si Erwana ne peut pas être avec vous cette nuit. Que vous vouliez au pas je dois rester si Erwana ne peut être avec vous.

Nathan soupira, agacé par la solicitude de Marie-Anne.
Il n'avait pas confiance, étrangement. Il déclara alors, peut-être sèchement:

"Je vais très bien et Erwana veillera sur moi. Alors allez la prévenir et laissez moi me reposer."

Déclara Nathan en se levant sans aucune difficulté. Mais visiblement énervé.

D'accord? Allez donc retrouver Sir Gareth une fois que vous aurez prévenu ma femme."

HJ: Fin du topic.

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