Appartement des souverains de Gaurres

Anna avait quitté ses appartements tôt en matinée, pour rencontrer le capitaine de la garde de sa mère. La nouvelle qu'elle y appris la bouleversa tant que même l'idée de donner naissance à un enfant semblait se dissiper.

En regardant par la fenêtre, elle comprit vite que le matin n'était presque pas rendu. Signe que Kaarl devait dormir encore. Cette petite discussion devait se tenir discrètement, elle le comprenait, mais point a cette heure.

Arrivée dans les appartements qu'elle partageait avec son époux, elle soupira. Elle avait regardé Kaarl, pensant comme le destin pouvait être parfois bizarre. Son père avait combattu l'homme qu'elle épousait.

Anna délaça son corset, et retira sa robe ainsi que ses chausses, avant de se glisser sous la couverture et se coller au saxon

kaarl rêvait de conquêtes, des conquêtes passées, et des combats de Gaurre, ainsi que des femmes qui avaient partagé sa couche, et au moment où Anna se glissa dans le lit conjugal il en était justement à sa dernière conquête: elle.

Sentant les pieds glacés de son épouse (et un cliché pour la table 8, un cliché, un!) contre lui, il se réveilla, et sourit à Anna, encore un peu endormi. Et tendrement il l'embrassa dans le cou avant de l'enlacer. Il ne posa pas de questions sur la raison qui avait poussé Anna à se lever: peut-être simplement le besoin de remplir un certain pot...

"Ma chère, je rêvais justement de vous."

Sourit-il. Peu à peu, Kaarl se réveillait. Mais son désir de grasse matinée était évident. Même s'il n'était maintenant plus évident qu'il veuille seulement dormir, Kaarl restant un pur saxon dans bien des domaines. Cependant il se rendit compte de quelque chose d'anormal chez Anna.

"Avez vous quelque chose à me dire?

Dit-il avec une douceur qu'il n'avait pas avant ses noces.... Anna faisait naître un nouveau Kaarl...

Anna avait rêvassé dans son coin , jusqu'a ce que Kaarl se réveille. Elle profita de ses baisers et le lui rendit avec tendresse.

- Je suis désolée de vous avoir réveillé, mon roi.

Chaque fois qu'il l'enlacait, Anna devenait dépourvu de toute méchanceté. Elle n'avait jamais encore compris ce qui l'attirait a ce saxon.

- Ma mère est en Orcanie ... Mais la meilleure et la plus belle nouvelle se trouve dans vos bras, Kaarl.

Anna se fit de plus en plus coquine en caressant son roi et en venant, lui sussurer a l'oreille :

Je suis enceinte ...

"Ce n'est pas grave, j'aime quand vous me réveillez avec vos pieds glacés."

Ironisa alors kaarl. Il caressa la joue de son épouse et l'écouta annoncer la présence de sa mère puis.... sa grossesse.
Kaarl sourit alors heureux, et embrassa avec fougue sa femme, lui grimpant quasiment dessus, comme s'il la dévorait, si bien que tous deux tombèrent du lit, enroulés dans les couvertures.... Kaarl se mit alors à ricanner.

"Vous n'avez rien ma chère? Oh si vous saviez comme vous me faites plaisir! Non vraiment je... C'est magnifique!"

Déclara le saxon, allongé sur Anna comme un prédateur sur sa proie. Seulement ledit prédateur caressait amoureusement les boucles brunes de la jeune femme....

Anna éclata de rire en voyant la situation se retrouver en bas du lit conjugal. Il était trop a son gout, elle le voulait et était prete

C'est que j'aime avec vous, mon roi, tout est imprévisible et alléchant a la fois.

Elle aimait bien cet instant. Kaarl sur elle, son désir montant a elle. Désir d'être soumise au roi saxon devenu si tendre

- Aimez-moi, comme chaque nuit. J'ai envie de vous, plus que n'importe quel homme.

Elle voulait cette étreinte, ici, maintenant ...

Elle le voulait, comme une drogue dont on ne se passe plus. Elle était tombée amoureuse et enceinte de ce roi, dont elle était l'épouse a jamais ...

Kaarl toujours sur Anna ria alors lui aussi et une fois qu'elle se fut tu, il l'embrassa tendrement.
Kaarl aimait sa femme et avait remarqué un changement chez elle. Depuis leur première nuit, elle s'offrait à lui à sa guise et parfois même réclamait l'union de leur corps. Comme à l'instant.

"Bien sûre Anna, mon petit chaton"

Déclara amoureusement Kaarl. Et le peu de vêtement que portaient la jeune femme, kaarl commença à les retirer avec une douce brutalité, savant mélange qu'il avait développé au contact de son épouse.

"Alors bientôt ceci ne sera plus plat mais arrondi par le fruit de notre amour."

Murmura-t-il pensivement, une main posée sur le ventre d'Anna avant de le couvrir de doux baisers pleins de tendresse.

Elle lui rendit son baiser avec fougue et envie. Anna n'avait plus les idées bien en place, depuis les révélations de sa mère. Kaarl lui ferait tout oublier. Tout au complet. Avec cet étreinte, il le ferait...

- Kaarl, murmura Anna en se mordant la lèvre.

Cet enfant, serait un fils, parce qu'elle le prirait, pour qu'il en soit ainsi. Elle le voulait. Un fils, pour sont royaume et sa nouvelle famille. L,amour et la trendresse que lui donnait son époux ne faisait que vouloir son moment, encore plus.

Je vous donnerai ce fils, cet héritier que nous attendrons, jour apres jour.

Et si elle se fiait a elle-même, son fils naitrait vers le printemps prochain ...

Kaarl souriat tendrement mais se rendait compte des soucis d'Anna. Quels étaient-ils? Il l'ignorait mais si cela le concernait elle le lui aurait dit alors... Il préférait laisser Anna aborder elle même le sujet.

"Et même s'il faut remettre l'ouvrage sur le metier, je promet de m'y consacrer jusqu'à ce que nous ayons un fils, et bien au delà, mon petit chaton."

Sourit tendrement Kaarl. Et lentement il déposa une multitude de baisers sur le ventre d'Anna et lentement il remonta, petit à petit, jusqu'à venir embrasser la petite poitrine ferme de son épouse.
Une poitrine que bientôt il lui faudrait partager avec leur enfant.

Anna regarda et su que son époux partageait ses mêmes idées.

Deux héritiers, forts beaux et robuste, pensa Anna. C'est aussi la premiere fois qu'elle enfanterait. Et elle priait Dieu pour que celui ci ne lui donne que des enfants en santé et plus tard une fille. Une petite fille, qui serait sa joie a elle.

Elle n'en pouvait plus. Elle enserra ses mains autour du visage de son époux et le forca à l'embrasser.

- Cesser de me faire languir Kaarl. murmurra-t-elle, entre deux soupir de contentement.

Elle se voulait soumise, pour la simple raison, qu'elle aimait cette brutalité douce dont la comblait Kaarl ...

"Mais chaton, j'aime vous faire languire, plus je vous fais languire et plus vous êtes douce, obéissante. Vous savez comme cela plait au saxon que je suis."

Murmura Kaarl, refusant le baiser qu'Anna voulait forcer, saisissant les mains, les écartant sans difficulté, pour embrasser tendrement chaque doigt, chaque phalange, chaque ongle.
Puis ils étaient nus, Kaarl unit leurs corps, lentement, doucement, et il força Anna a lui abandonner ses bras, plaquant les mains à même le sol, avant de lui sourire tendrement. Et il l'embrassa finalement, comme elle le désirait, mais sans relacher sa prise, avant de chuchoter à son oreille.

"Rappelez moi comment vous âimez êtes étreinte et comment vous aimez vous comporter et comment vous vous aimez que je me comporte quand je vous étreins. Je crains que le sommeil ne me l'ai fais oublié, doux chaton."

Plaisanta alors Kaarl en adoptant un ton autoritaire...

Il la connaissait trop désormais. De plus, il lui refusait son baiser. La nouvelle reine s'abandonna au Saxon. Elle était avide de le reconnaitre dans ses geste, les plus audacieux. Ce qui en réalité lui faisait tout son charme.

La force surdimensionné de son homme l'Amenait toujours a frémir de sa grande imagination. Sa force amusait la Anna qui s'abandonnait chaque fois.

Kaarl , finit-elle par gémir.

Elle enserra ses jambes autour du corps musclés de son époux et s'abandonna dignement, a son maitre.

Elle bascula offrant ainsi son cou gracilement

- Je vous veux Kaarl, supplia-t-elle en essayant de se retenir ...

Se tenant toujours sur Anna, l'immobilisant, savourant l'étreinte des jambes graciles de la jeune femme, ainsi que les frissons, Kaarl s'amusait.

"Mais moi aussi je vous veux chaton mais avant cela il faut que vous appreniez un peu l'obéissance. Je vous aime mais il faut bien que vous cessiez de jouer les chats sauvages."

Le sourire de Kaarl pouvait renseigner Anna sur les pensées de son époux: il jouait. Cependant puisqu'elle avait basculé la tête en arrière, elle ne pouvait le voir. Cependant malgré ses paroles, et alors qu'il avait uni leurs corps, il déposa un tendre mais léger baiser dans le cou de son épouse avan de murmurer au dessus dudit cou, dont il voyait la carotide battre d'amour sous les assaux du coeur et de la passion de son épouse:

"Anna ma belle vous êtes un ange sans ailes. Et moi un démon. Et vous savez ce que les démons font aux anges sans défense? Ils profitent d'eux. C'est exactement ce que les époux font à leurs épouses dans notre société... Honnêtement je suis ravi que vous aimiez cela..."

Entendait-elle bien? Pas sûre. Kaarl ne l'avait pas dit pour être entendu, il se parlait à lui même....

Cessez d'Attendre, je sais très bien que vous adorez que je joue les chats sauvages.

Elle avait rit de plaisir en sentant le contact de la douce peau de son amant.

Anna ne comprit pas un traitre mot de ce que le roi Saxon lui prononca. Trop concentré sur ses propres sensations. Elle essayait bien de reprendre le dessus, mais elle ne pouvait cesser ses gémissements de satisfaction

Elle ramena ses lèvres contre les siennes

- Vous aimez que je vous pose résistance. J'adore, lorsque vous usez de votre force, pour combler mon appétit, insatiasble

Kaarl souriait tel un enfant devant un gâteau, et il mebrassa gouluement sa femme, tout en caressant la petite poitrine. Poitrine qu'il embrassa tendrement, débordant de désir, et amusé par sa femme. Et ce qui l'amusait c'est qu'elle gémissait non car elle se débattait mais parce qu'elle aimait devoir se débattre... Il le sentait... Leurs corps étant unis il sentait son excitation tout comme elle sentait la sienne.

"J'aime mater les chats sauvages et les dresser oui, j'aime le défi que vous représentez, chaton. Mais rassurez vous, même s'il me faut plusieurs années, vous finirez en gentil chat de salon qui vient se coucher aux pieds de son maître."

Déclara Kaarl jouant toujours: il donnait du "mou" à Anna pour ensuite reprendre le dessus sans aucune difficulté, et lentement il commença à onduler son bassin tout en dévorant le cou de sa femme... Il allait la faire miauler grâce....

S'il voulait jouer a ce jeu, Anna s'y pretait merveilleuse bien.
Elle manqua de s,étouffer, en riant.

-J'Ai bien peur du contraire, mon doux. Je vous dresserai bien avant que vous ayez réussi. Je vous en fais une promesse

Malgré la tonne de muscle de son époux, avec agilité elle réussi a retirer une de ses mains et la posa sur l'épaule musclé de son saxon.

- Kaarl ... oh mon amour ... oui ... , gémit la reine de Gaurres sous la puissance qu'exercait le roi des Shetlands.

Elle ne pouvait pas lui donner l'entière satisfaction maintenant. Elle devait se contenir, mais Dieu qu'il la comblait. Elle en voulait plus.

- Encore plus, mon amour, encore ...

Kaarl ria et saisit la nuque d'Anna de sa main désormais libre. Ainsi elle ne pouvait bouger sa tête et Kaarl l'embrassait tout à loisir.
Il souriait amusé, alors qu'elle gémissait de plaisir comme n'importe quelle femme face à un amant de qualité....
Cependant au contraire de bien des femmes, elle se retenait.

"Chaton, laissez vous aller voyons, soyez mienne totalement, nous sommes seul, alors oublions les convenances."

Déclara alors Kaarl, continuant d'onduler lentement mais amplement. Puis soudain ses mains relachèrent Anna. Kaarl avait une petite idée. Il saisit le drap et commença à le nouer autour des poignets d'Anna, lui liant les mains dans le dos avec douceur afin que ses poignets ne portent pas de marque.

"Je vais t'en offrir mais d'abord je m'assure de ton obéissance durant la matinée. Mon amour de félin."

Kaarl était tout de douceur et pour lui il serait simple de se défaire des liens mais Anna manquerait probablement de force, ou d'envie.... Ne lui donnait-il pas ce qu'elle souhaitait? Tendresse, amour, plaisir.

Elle ne pouvait plus lutter.

Je suis votre, mon corps vous appartient.

Elle se laissa attacher les mains doucement, comme lourde promesse ou de menace qu'elle allait pouvoir profiter de plus encore. Elle se laissa gémir, question d'emplifier l'imagination de son mari.

Elle se donnait parfaitement, soumise qu'elle était ...

- Je le veux maintenant, maointenant et toujours. Kaarl

Il avait gagnée, sa guerre, Elle voulait cette étreinte finale et nirvanesque dans son corps ...

Kaarl sourit alors tendrement à son épouse et il l'embrassa avec fougue et passion. Et elle se laissait gémir, elle ne résistait plus.
Alors il commença à amplifier ses mouvement et à gagner en rythme tout en caressant sa femme, qu'il n'avait plus besoin de tenir puisqu'elle avait les mains attachées dans le dos. Et il la couvrait de baisers.

"Maintenant et toujours, Anna. Mon petit chaton d'amour."

Furent les mots prononcés par le saxon. Il avait gagné la bataille il le savait. Gagné la guerre? Il l'ignorait. Mais il offrait à sa femme l'étreinte nirvanesque qu'elle souhaitait, à même le sol car finalement c'était là ou ils étaient le mieux.

Anna se laissa damner par son époux avant d'expirer un long râle de contentement qui du faire frissonner son époux.

Il l'avait conquise, et vénérée, comme les hommes se devaient de le faire.

Malgré l'épuisement que son mari lui avait offert, elle n'avait pas envie de se lever.

Toujours haletante,. elle demanda sincèrement :

- Prenez-moi contre vous. Je vous en prie.

elle voulait pleurer , mais s'en retenait, seulement parce qu'elle était près de lui.

Après l'extase d'Anna vint celle de son époux et tous deux restèrent l'un sur l'autre, enlacés. Tendrement il lui caressait les joues et les cheveux, la laissant ligoter car cette vision lui plaisait et puis, n'avait-il pas vaincue à la loyale? Selon le jeux il pouvait la laisser ainsi jusqu'à ce qu'ils se lèvent.

Kaarl savourait donc son plaisir, le râle de contentement d'Anna résonnait encore dans ses oreilles, et elle restait haletante.

"Mais bien sûr chaton que je vais te prendre dans mes bras. Mais qu'as tu donc? Aurais-tu appris une mauvaise nouvelle?"

Demanda le saxon qui, par habitude, était repassé au tutoiement. Il la caressait tendrement et il comprit alors qu'elle souhaitait pleurer: mais il ne comprenait pas qu'elle ne pleure pas. Il savait qu'elle n'était pas saxonne, qu'elle était sa fragile petite Anna, son chaton d'amour. Elle pouvait pleurer, il savait qu'elle était faible. Ce n'était qu'une orcadienne et pas une saxonne. Et oui Kaarl était plein de préjugés vis à vis des non saxons.... Mais il n'était pas le seul et c'était réciproque...

Elle n'en revenait toujours pas de la froideur de sa mère. Elle trouvait, même après des heures de tendresse, avec son époux, que sa vie restait froide, a cause de cette nouvelle

- Je ne suis pas sa fille. Je ne suis pas la fille d'Aron. Je ne suis qu'une ...

Anna grogna quelques instants et regarda son époux.

- Comment a -t-elle pu ?

Une raison de plus pourqu'Anna ne le fasse jamais a son époux. éloigner quelconque bâtard pour tout lui avouer plus tard. Anna était d'une colère noire. Elle ne comprenait pas encore les motivations de Minara Toujours en sachant que son père a elle, était vivant, et n'acceptait nullement ce mariage.

- Je la retrouve et je n'ai qu'envie de ne plus la revoir.

Kaarl souleva un sourcil. Il se tut comprenant le problème: Anna découvrait qu'elle n'était qu'une batarde...

Ce qui ne gênait pas Kaarl outre mesure. Il la regarda et l'embrassa tendrement. Il la serrait contre lui, la câlinait, la caressait et après qu'elle se fut tu il déclara:

"Ecoute pour moi ça ne change rien, je continue à t'aimer chaton. Et je.... Je regrette que ta mère se soit ainsi comportée envers toi. Sincèrement, mais pourquoi se soucier d'elle alors que nous allons avoir notre propre famille? Je...."

Kaarl réfléchissait, conscient qu'il était maladroit sur ce genre de discussion. Mais il blottissait Anna contre son coeur et elle pouvait entendre à quel point le coeur du saxon battait fort pour elle.

Anna ne regardait pas Kaarl dans les yeux. Elle savait que tout ca ne lui faisait ni chaud ni froid. . Elle voulait vivre une vie et la vivrait avec Kaarl.

- Il n'y aura que nous deux et nos enfants. Vous serez ma seule famille, mais je ne renirai pas mon frère, qui a besoin d'Attention et d'aide.

Elle était la a ecouter le coeur de Kaarl, qui signifiait, plus qu'une chose pour elle.

Je suis uniquement a vous ...

Kaarl caressait les cheveux de son épouse avec une infinie tendresse. Et lorsqu'elle se dit comme étant uniquement à lui, elle pu entendre le coeur de Kaarl battre un peu plus vite. Une femme magnifique, vraiment.
Kaarl était heureux avec elle.

"Anna, je.... Je suis heureux de te "posséder" mais je ne veux pas que tu renie ta famille tu sais. Tu n'avais pas besoin de le dire."

Déclara Kaarl, caressant tendrement celle qu'il aimait.

Anna soupira et regarda Kaarl.

- Il est trop tard. Elle me ment depuis deux ans. Je ne peux pas mettre mon vrai père dans l'ombre. Je ne doute pas un instant sa sincérité. Mais, j'ai besoin de réfléchir et de temps.

Elle n,était pas prete a pardonner pour l'unique raison que sa mère l'avait abandonné, parce qu'elle ne portait pas la descendance d'Aron. Peu lui importait. Chaque fois qu'on l'appelait l'Orcadienne, elle grimacait. Elle ne l,avait jamais été.

Puis remarquant bonnement qu'elle était encore attachée, elle regarda Kaarl, avec son air d'Ange et lui demanda :

- Détachez moi vilain saxon ...

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