convocation du sire de Reims par sa reine (morgause/simon)

Elle apprécia les baisers, et y répondit par des soupirs non simulés, Morgause simulait peu en général...
Elle acceptait ce don, ce joli don d'un tout jeune homme d'expérience, d'un jeune homme qui lui offrait un hommage inespéré bien qu'escompté.
Elle accepta cette prise de pouvoir du garçon, provisoire, satisfaisante et... si agréable. Différent de la brutalité de Loth, changeant du côté rustre de Geoffroy, inhabituel par rapport à la totale soumission e Marth, ce "petit" Simon lui plaisait beaucoup et elle le lui fit savoir :

- Vous serez l'aveugle, laissez la reine libre de ses sens. Usez comme cela de celui du toucher qui sera exacerbé par votre aveuglement ... Moi, il me faut voir, voir ton joli torse fauve, voir tes lèvres douces et charnues, contempler ton désir... pour mieux l'assouvir.

[ HJ : uhm, le rideau pudique ne tardera point, rassurez vous lecteurs perdus !]

Et Simon sourit alors doucement dans ce qu'il pensait être la direction du regard de Morgause, alors que de ses mains il lui caressait les fesses avec un évident désir, alors que ses lèvres parcouraient les deux petits boutons de rose dressés sur l'opulente poitrine de Morgause avant de chercher à lui couvrir le cou de baisers, puis chercher ses lèvres.

"Oh Morgause, ma reine, quelle peau, quel parfum, quelle douceur, quel goût! Vous êtes si délicieuse. Je... C'est si bon d'avoir les sens ainsi décuplés vous savez?"

Murmura alors Simon dans un souffle....

Et le meilleur est à venir mon joli pensa la louve... le meilleur pour moi et peut-être pour toi pensa-t-elle un large sourire aux lèvres.
Elle le pris comme un fauve, sans entraves de quelque ordre qu'elles soient, ni la morale, ni la soit disant retenue des dames de cour n'avaient de portée pour Morgause...
Pas un moment elle ne pensa à son époux, se donnant corps et âme au plaisir du moment, elle était quasi insatiable...

Après deux étreintes passionnées, la fureur du volcan roux se calme, elle reposait quasi exsangue sur le jeune homme... à qui elle adressa quelques mots d'un souffle un peu court :

- Simon de Reims, notre pacte est signé, tu es adoubé espion de la reine... tu le mérites... elle eut un petit rire... avant de redevenir terriblement sérieuse en posant sa main sur son ventre si rond... En mon sein est l'espoir de l'Austrasie, s'il s'agit d'un héritier je souhaite mon bel amant que tu en sois parrain et tuteur. Cela te convient-il beau Simon ? Dit-elle en caressant la joue humide du jeune homme.

Attacher de cette manière directe un des principaux vassaux à son rejeton était son seul but en la matière... Quand à la marraine, qui ne le savait pas encore, elle était elle aussi déjà aussi choisie . Il était si évident que la co-régente ferait une marraine parfaite, puissante vassale la dame de Blaye était incontournable...

Simon fut surpris de la bestialité de l'étreinte prodiguée par Morgause alors qu'il s'attendait à plus de douceur de part une femme enceinte, mais ce fut un véritable rodéo qu'il vécut, et à deux reprises. Finalement Morgause fut rassasiée, Simon épuisé, et elle reposait totalement sur lui, et il l'enlaça tendrement, comme si elle était sienne.

"Je... Merci de m'offrir cette charge, je parainnerai votre enfant, que ce soit un héritier ou une héritière. Je vous promets de servir cet enfant comme je vous sers. Naturellement l'idée que vous ayez une fille m'effraie un peu."

Déclara Simon ému et soudain mal à l'aise. Il chercha donc à détendre l'atmosphère avec une pointe d'humour. Il ne pouvait voir Morgause mais il se doutait que cette réponse devrait lui plaire, il imaginait un sourire satisfait. Et elle pouvait sentir que peu à peu il recommençait à désirer une nouvelle étreinte. Morgause lui plaisait...

Elle rit, d'un rire rauque à la déclaration du joli petit rouquin... et sans vergogne, puisqu'il choisissait la voie scabreuse d'un humour un peu paillard lui répondit :

- Merci cher et dévoué vassal, mais je tiens à ce que vous notiez qu'il ne vous sera en aucun cas nécessaire de signer quelque pacte que ce soit avec mon héritière et encore moins avec mon héritier... Suis-je claire ?

Elle retomba sur les coussins de soie, heureuse de moment, tout en ayant noté, elle, le bref éclair de désir qui avait allumé le regard du sire de Reims. Elle choisi non de l'ignorer mais de le contrarier, juste par jeu, juste pour lui notifier que c'était uniquement quand elle le voudrait que le jeune homme partagerait la couche royale...

- Maintenant, charmant et charmeur espions, il vous vaquer à vos nouvelles occupations et surveiller ou faire surveiller cette horripilante voyante... ne croyez vous pas ?

Elle caressa le torse du jeune homme... s'arrêta au niveau de son nombril et ajouta :

- Nous sommes appelés à nous revoir, n'en doutez pas un moment monsieur de Reims !

"Bien entendu Altesse que je ne signerai pas de pacte avec votre héritière, je soulignais juste le mal que j'aurais à éduquer une enfant fière et indépendante!"

Déclara alors gentiment Simon. Elle se coucha alors sur le cousin de soie et Simon retira le bandeau sur ses yeux avant d'embrasser le ventre de Morgause. Il avait compris bien avant de l'entendre qu'il lui fallait se retirer. Et il embrassa alors les mains de sa Reine.

"Je désire déjà ardemment nos retrouvailles, votre Altesse."

Déclara Simon, embrassant une dernière fois les mimines à Momorgue avant de commencer à se rhabiller.

[ HJ : les mimines à momorgue ????? je rêve ? tu sais où tu vas la prendre la mimine ? Laughing

]

HJ: Fessée? C'est Marth qui aimerait^^.

[hj : uhm ! arrêtons là où je vais te donner un avertissement à la conduite ]

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