Discussion entre Marth & Morgause... (Pv hein ;) )

à tout... que n'ai-je charte ou parchemin en main... pensa la Reine, mais elle pensait cela avec humour... car elle prenait plaisir à ce scénario.

- Je ne sais si je vais pardonner à mon petit chien... et lui accorder la félicité qu'il requiert...

Elle le regardait avec une cruauté amusée, s'il était chien, elle était chatte...

- Je veux que tu rendes hommage à mon pied, que tu le cajoles, que ta bouche et ta langue experte quand il s'agit de parler aux femmes viennent lui rendre l'hommage qu'il mérite ... Tu es mon petit chien et ta maîtresse t'offre son pied...

Elle tendit son pied nu ... à son petit chien.

(Hj: petit chien ou petit esclave? Tu sais comment me parler Razz

Mais vas y rédige donc une charte Razz

)

Marth fut soudainement saisit de peur: Morgause refuserait-elle de lui accorder la "félicité" qu'il désirait? C'est à ce moment qu'elle lui tendit son pied en l'appelant petit chien, Marth embrassa alors le pieds de Morgause avec autant de soumission, de tendresse et de passion qu'il pouvait.

Merci Maîtresse de m'offrir votre pied, votre petit chien en est ravi.

Se réjouit alors Marth en caressant et massant tendrement la cheville alors que ses lèvres se posaient avec douceur, tendresse, amour, sur le pied de Morgause, commençant par chaque orteil, puis descendant le long de la voute plantaire, jusqu'au talon, avant de revenir, allant de la cheville jusqu'à l'orteil. Et Marth se mit ensuite à lécher tendrement le dessus du pied avec amour, passion, tendresse, avant de lécher la cheville puis le talon, et sa langue repartit tendrement, amoureusement, prenant la direction des orteils, qu'il finit par sucer tendrement, allant du plus petit au plus gros, pour ensuite tenter de sucer tout le pied ou en tout cas, la totalité des orteils.

La maestria de son amant eut raison de son jeu pervers... La chatte Morgause succomba au petit chien et s'offrit malgré elle... son joli pied se cambrait, elle soupirait et gémissait, ses sens étaient totalement exacerbés par la grossesse et le jeu qui avaient précédé...

Morgause ouvrit ses yeux comme brulants de fièvre et gémis un "viens mon bel esclave, viens mon petit Roi, mon amant ...".

Elle était totalement heureuse, épanouie et ouverte à celui qui comblait ses sens - [hj : et pas que les siens].

Marth suivait la cambrure du pied, n'imposant rien à sa Reine, préférant suivre ses mouvements, et il ne pu cacher un sourire lorsque il entendit Morgause gémir de plaisir et l'appeler: aussitôt les mains et les lèvres de Marht progréssèrent lentement le long de la jambe, remontant autant que possible, en présence de la robe, et lorsque la robe vint géner cette progression, il avança tendrmeent le long du bras, en allant de la main jusqu'a l'épaule, avant de finir par embrasser Morgause dans le cou, lui caressant les épaules.

J'arrive ma Maîtresse, mon Amour.

Répondit amoureusement Marth.

Elle se laissa dévêtir, murmurant des "déshabillez moi, avec délicatesse, en souplesse"... ses ongles marquèrent le dos large de son amant, s'agrippant à lui comme s'il allait la laisser là, pantelante, si désireuse d'être rassasiée...

Elle se donnait avec passion, exigeant une violence nécessaire ... les fauVes s'accouplent ainsi non ?

Et Marth obéissant volontier à ce qui allait dans le sens de son inclination naturelle, ne ressentant donc nullement la moindre obligation (oula le cour de Phylo m'obsède ), fit lentement, sensuellement glisser la robe de sa bien aimée, partnat des épaules et finissant aux chevilles. Il retira alors avec les dents la seconde chaussure de Morgause, puis remonta lentement vers Morgause, l'enlaçant tendrement, l'embrassant passionément, et ne prétant nullement attention aux marques des ongles de sa bien aimée de tigresse.

[ Morgause a besoin de connaître le "plan" de Math, nous terminons donc ce sujet interdit aux mineurs et aux lapins roses]

Morgause ressentit un plaisir incommensurable... la combinaison explosive du jeu préliminaire et de sa récente grossesse qui exacerbait sa libido, pourtant déjà enviable, l'amena au nirvana.

Néanmoins, Morgause restait Morgause, et malgré la plaisir ressenti murmura, à peine leur ardeur commune comblée, à son amant, au beau milieu de leur vêtements épars :

- Et ce plan, amour d'esclave, quel est-il ?

Et cette question frustra au plus haut point "l'amour d'esclave": Il était si absorbé par son amour pour la Reine mère qu'il en avait oublié qu'auparavant il exposait un plan.

Il... Il s'agit de... de gagner la confiance de la dragonne afin de la tuer lorsqu'elle serait vulnérable. Vu qu'elle... aime jouer avec moi je pensais la tuer durant un de ces jeux... Cependant cela est risqué et je suis heureux que ton enfant puisse assurer notre avenir. Cependant j'espère que nous aurons le temps de nous marrier si jamais ce plan échoue.

Marth allait utiliser une dague doté du plus puissant poison connu... et disponible... cependant on ignorait combien de temps durerait l'agonie de la dragonne... si l'agonie était suffisament longue, Marth pourrait y passer.

Oui, cela lui revenait, Alicia, plus Marth, plus Talbot... et elle !

- Habille toi petit esclave et redeviens mon roi ... nous allons chez Sir Talbot, ne me demande rien et suis moi...

Elle même se leva vivement, mis sa robe, jeta dessus une cape ... et à la porte attendit son bel esclave dont elle pris soin de bien noter les formes harmonieuses... rêveuse.

Oui ma Morgause d'amour.

Répondit alors tendrement, amoureusement, Marth, caressant le visage de Morgause avant de la laisser se revétir, se rhabillant lui aussi de sa tenue, sobre et élégante. Il souriait béatement, repensant aux formes séduisantes, épanouies, de Morgause, et à sa poitrine raffermie par la grossese. Il était près à suivre celle qu'il aimait.

[ suite chez Sir Talbot]

» Discussion avec Morgause
» Entretien entre le roi et Marth
» La princesse et son amant [discussion entre Gauthier et Anna
» [CUISINE] Discussion entre Sarah et le lutin d'Orcanie