Discussion entre Marth & Morgause... (Pv hein ;) )

Sir Talbot venait de sortir et Morgause, heureuse de cet entretien était d'une humeur merveilleuse... comme à une fête, elle repris une coupe de ce délicieux vin si épicé dont elle rafollait et la porta avec envie à ses lèvres ... quand elle fut prise d'une horrible nausée imprévisible. Elle n'eut que le temps de se lever pour aller vomir la première coupe de ce nectar.

A ce moment, elle entendit Marth et essaya de reprendre contenance, nauséeuse et le teint livide elle lui répondit :

- Un petit moment mon ami, se passant rapidement un peu d'eau fraiche sur la visage, je suis à vous ... et l'illumination la pris ... et si ... non ? dit-elle en portant ses mains à son ventre !

HJ :

Hj:

[hj ... voilà quirelance l'action hein !
hj 2 : avertissement à Marth tu reparles d'âge t'as plus de tripes dans l'ventre ]

Morgause semblait ... fort surprise et décidément ces derniers jours s'avèraient forts... éprouvants. Néanmoins elle souriait à Marth, d'un air un peu béat, voir même un peu crétin, ce qui n'était pas son habitude...

Elle n'eut qu'un :

- Non mon ami, tout va bien, fort bien ... l'air crétin devint plus intelligent, une réflexion intense... euh et vous ? Je veux dire avez-vous un problème ou est-ce juste pour me voir que vous franchissez ma porte... Remarquez, dit-elle d'un air coquin et aguicheur, que j'ai toujours beaucoup, tellement de plaisir à vous voir ici....

La reine mère d'Orcanie se sentait follement future reine d'austrasie en ce doux moment, ses sens lui semblaient exacerbés, elle se sentait emplie de vie...

- Epanouie dites vous bel ami, oui, dit elle en ressentant sa poitrine dure qui martyrisait sa robe, oui... un oui pensif.
Il est fort possible, mon trop fougueux ami, que j'ai d'ici peu une nouvelle à annoncer, une nouvelle qui peut faire date pour l'Orcanie et l'Austrasie... mais cela demande confirmation même si au plus profond de moi je sais que les signes sont là... pour les avoir déjà vécus... Sur ce elle pris la main de Marth et le posa sur son sein, ferme, très légèrement douloureux... il se pourrait fort, mais ne l'ébruitons-pas que je puisse donner la vie à un -ou une- nouveau prince, mon bel amant....

Elle rayonnait, heureuse comme jamais, quasi sure de son fait...

Marth eut le visage qui s'attrista alors et il blottit son visage contre la chevelure de Morgause et lui chuchota à l'oreille.

Une horrible nouvelle je le crains...

Marth reprit alors son souffle, respirant le parfum de celle qu'il aimait, puis prit la parole:

J'ai rencontré le dragon, une dragonne en réalité. Elle ma plongé dans un lac et nous avons lutté, bien que pour elle ce fut un jeu.

Une larme coula alors le long de la joue de Marth. Mais il lui fallait parler. Ou plutot chuchoter dans le creux de l'oreille de Morgause, car personne ne devait les entendre.

Elle m'a laissé le choix entre mourir noyé ou devenir son esclave. j'ai entrevue une unique alternative: gagner sa confiance pour la tuer par la ruse, mais cela impliquait que je devienne son esclave, en apparence. Je me suis donc soumis.

Et Marth se mit à pleurer. Il ne pouvait tout dire mais il le fallait, et si jamais on entendait parler de sa nuit avec Alkhytis, autant prévenir Morgause en arrangeant la vérité.

Elle m'a d'abord fais lécher ses griffes puis a pris forme humaine, et a abusé de moi, tel un esclave sexuel....

Ainsi Marth avait tout avoué à Morgause, même si il avait modifié quelques détails.

Pardonne moi mais cette duplicicité pourra nous assurer la victoire, malgré son côté horrible et avilissant. Je... Au moins ais-je déjà apris qu'on pouvait la faire saigner...

Les yeux de la reine reprirent leur apparence inflexible... non de jalousie, ce sentiment elle l'avait banni de sa vie, si elle avait du être jalouse de chaque paysanne culbutée par Loth, elle y eut passé sa vie... mais de perplexité...

Elle failli repousser Marth pour parler sérieusement mais après un instant de réflexion fort bref décida d'adopter une autre tactique...

Sa main caressa les cheveux du jeune roi, et, d'une voix douce, elle lui dit :

- Quel affreux moment, mon si bel ami, mon bel et doux Marth... mais, tu as raison, et là, je reconnais le Marth que j'aime et aimerai autant que dieu voudra me donner vie, si elle peut devenir humaine et si elle saigne, elle n'est pas l'invincible créature que sa messagère prétend... et là elle réagit... mais bon sang, la messagère... Elle repoussa un peu son amant...
Sa voix devint plus froide...

- Et qu'elle est son apparence humaine ?

C'était donc cela, voilà qui expliquait l'attitude du jeune roi... Saleté pensa la Reine mère qui regretta de ne pas avoir eu l'intuition de sa bru...
Mais, maintenant, elle savait... la dragonne était prenable et cela pouvait être utile à l'expédition initié par Morgause. Elle se devait de partager ce secret avec Alicia, voir avec Talbot et le freluquet de Rome...

Elle se blottit à dessein contre le jeune roi, qui aiguisait son appétit renforcé par son soupçon de grossesse... et lui confia :

- Parlez moi de ce plan, et... je vous parlerai du mien puisque moi aussi je prépare une surprise à votre esclavagiste... elle souriait en lui révélant qu'elle aussi avait un plan anti dragon... commencez mon tout beau... sa main caressait la joue de son bel amant, son coureur de jupon préféré, son petit roi.

Marth caressait la nuque de Morgause, tout en se blotissant contre la futur mère de l'héritier du trône d'Austrasie, et il l'embrassa sur la joue avec douceur, et tendresse, et un sentiment de honte: il n'avait pas dit à Morgause qu'il avait aimé être traiter en esclave, s'en douterait-elle? La réaction de Marth au mot esclavagiste, le frissonnement qui lui parcourut l'échine, pourrait le lui indiquer.

Mon plan est fort simple: gagner la confiance de la dragonne pour pouvoir, le jour ou elle sera vulnérable, la tuer à l'aide soit d'une dague soit d'un poison, ou une dague empoisonnée. Je n 'ai pas encore l'arme mais ça ne saurait tarder.

Marth se blotissait contre Morgause partagé entre les désirs que la reine mère d'Orcanie lui inspirait et la honte qu'il ressentait d'avoir servi d'esclave et d'avoir couché avec la dragonne.

(HJ: Ton coureur de jupon préféré?? )

Comme ce frisson était visible sur le mot qu'elle n'avait pas employé au hasard ... et comme il eut un effet sur la reine qui senti que ce frisson pouvait faire basculer leur vie amoureuse, et, de là, accentuer la main mise de Morgause sur son futur époux.
Elle n'en laissa rien paraitre, joueuse comme une chatte, elle gardait cette information essentielle pour plus tard... comme une douce promesse de félicité partagée, Morgause ne pouvait décevoir si on la poussait dans un rôle dominateur.

- Uhm, voilà qui pourrait nous amener au mien ... enfin à mon plan... car, il me semble que l'arme existe et qu'elle est proche de nous, proche de toi en fait... elle était tout sourire et laissait un petit suspens s'installer... par pure malice... par pur jeu...
Car, une arme s'est manifesté, ce n'est pas la première fois que nous entendons en nos contrées parler d'épées qui se manifestent, non ? Et, incroyablement, il semble que cette épée ait choisi son porteur, enfin sa "porteuse" puisque c'est de ta soeur Alicia, comtesse de Blaye qu'il s'agit...

Elle le regardait avec envie mais aussi avec un air autoritaire se demandant si... puis repoussa ses pensées lubriques... quoi que ...


[c'est pas moi qui l'ai dit la première ... mais, bon, c'est notoirement connu non ? ]

Marth remarqua alors que Morgause jouait avec malice, s'amusant probablement du frisson qu'il avait ressenti Il n'en dit rien cependant, approuvant d'ailleurs que Morgause oriente ainsi leur relation.

Ainsi Alicia dispose d'une épée magique? Une telle arme devrait pouvoir tuer la dragonne ou en tout cas la blesser gravement .

Marth remarqua alors la lueure dans le regard de Morgause: du désir, une pensée, qu'elle tentait de dissimuler.

Douce Morgause, quelle pensée tentez vous de me cacher? Un désir peut-être?

(HJ c'est l'acceptation d'une telle situation qui m'étonnait venant de ta part )

Elle s'amusait, follement, malgré la gravité de la situation dont elle reconnaissait qu'elle était une des affaires de sa vie...

Elle se rapprocha et lui chuchota :


- Je crois que vous allez m'accompagner ce soir chez un ami, et nous conviendrons de la façon de faire approcher par Alicia cette envoyée dragonne ... et lui passer son épée à travers du corps...

Puis elle se laissa tomber sur le lit...

- et je crois qu'effectivement votre "douce" Morgause a une idée... avant la réunion... je veux mon tout beau ... que délicatement tu ôtes tes vêtements... que délicieusement tu me donnes envie de toi... de voir comment tu peux susciter l'envie d'une dragonne... de savoir quel bel et merveilleux esclave tu peux être... et de voir combien tu aimes, respectes et adores ta future épouse et surtout comment tu obéis à ta "douce" Morgause... sa voix était un peu rauque, sensuelle au départ, dérivant au fil des demandes vers un autoritarisme marqué...

[ tu ne connais pas encore ta douce Morgause, ça elle peut l'accepter ...]

Marth devint rouge tomate au fur et à mesure que Morgause parlait, et elle l'excitait follement à lui parler ainsi, il avait le souffle court, la respiration forte.

Bien mon amour j'obéit donc, puisque c'est avec plaisir que je deviens non votre roy, ou votre amant, mais votre esclave.

(Hj: pusique dans la logique de l'époque, l'amant possède la femme qu'il aime, au moins le temps d'une nuit)

Et Marth lentement retira ses bottes, puis, tout aussi lentement dévétit sa chemise avant de faire glisser son pantalon, en remuant les hanches. Et bientôt ce fut nu, le sexe dressé, et dur, qu'il se tenait devant Morgause.

Dois-je utiliser un titre marquant ma soumission envers vous puisque je suis votre esclave?

Demanda alors Marth, avec un sourire tendre et coquin à la fois, mais aussi mal assuré.

[hj interdit au moins de 18 ans ]

Uhm, pensa la "douce" reine, c'était bien cela... et "cela" lui convenait on ne peut plus parfaitement...

- Je suis ta Reine, ton amante, mais surtout ta Reine... ne cherche plus Marth d'Austrasie, tes maîtresses ne vaudront jamais ta Maîtresse, je peux le l'assurer... tu ne seras pas déçu...

Elle le regarda, rougissant mais empli de désir... elle le regardait en cachant totalement son propre désir... pourtant présent.

- Là tu es presque ce que je veux esclave Marth... tourne toi, doucment, et cambre pour moi tes jolis reins... ne t'a-t-on jamais dit que les femmes aiment aussi les parties que les hommes orgueilleux leur cachent ? Je veux te découvrir, entièrement... de suite.

[HJ Interdit aux romantiques fanatiques... ]


Elle souriait, mais il ne pouvait la voir, son naturel "assez" dominateur prenait le dessus... et elle y trouvait son plaisir tout en satisfaisant son fiancé, qui y aurait trouvé à redire ?

Du bout des orteils elle effleura le bas du dos de Marth, délicatement le bout du royal pied droit parti des reins et suivi les douces courbes offertes...

- Tu es beau comme cela ... beau, offert à ta maîtresse... Mais tu mérites pas de récompense, tu as été ainsi offert à une autre... Il va de soit que pour cela ta maîtresse doit te punir... n'est ce pas mon petit esclave ?

... oh que oui pensait la reine... et sans prévenir lança une main délicate, certes, mais néanmoins fort leste vint frapper la fesse droite de Marth... ce qui après la douce caresse du pied pouvait surprendre.

- Uhm, voici pour je jour, je serai magnanime ... mais il convient mon valet royal que tu demande humblement pardon, ce pardon tu le solliciteras chaque jour, rituellement... Tourne toi serviteur indigne !


Elle était sur son lit, habillée de sa robe rouge, seul un pied nu... tendu vers Marth...

- le pardon se sollicite à genou... au pied de mon lit comme mes chiens qui eux aussi m'obéissent...

Elle désigna la place de son pied déchaussé...Le regard de la reine était fixe, son excitation était réelle, pouvoir exercer un pouvoir jusque dans la chambre lui plaisait ... indéniablement.

- Tu aimes mon pied, non ? Je te laisserai peut-être le baiser quand tu auras demandé pardon...