Départ

Effectuant la demande du Roy, Blanche avait vidé ses appartements et ceux de son père. Sa garde ayant déjà quitté la demeure du Roy et elle s'appretait a en faire autant. Apres avoir scellé sa monture, elle s'appretait à y monter, mais un bruit attira sa curiosité

Si c'était le roy, elle allait lui dire sa pensée. Elle ne supportait plus les mensonges écoeurants du roy.

Qui est-ce …?

Elle avait le choix de beaucoup de personne. Phocas, Mordred, ou Geoffroy. Ele ne voulait aucune de ses personnes. Ils étaient les trois un malheur. Mais le pire était Mordrd. Pourquoi n'avait-elle pas mis une gifle à Mordred lorsqu'elle avait eu le temps

Émerick qui passait toujours aux écuries, à cet heure, pour prendre soin lui-même ed samonture. En général, il ne trouvait eprsonne aux écuries, puisque les palafreniers étaient affairés ailleurs et que la moitié du chateau dinait ...

Mais cette fois, c'était différent. Il avait entendu une voix qui demandait qui était-ce ...
Il ne reconnu pas cette voix, mais lorsqu'il fut près et qu'il vit la duchesse, il dit:

- Heu ...
Je suis Sir Émerick ...
Héritier des Orcades ...

Et vous ...
Vous êtes ...
La Duchesse D'Abingthon ?

Blanche se rassura par le ton de voix dont on lui répondit.

Votre Altesse, Heureuse de vous revoir.

Vous avez la réponse exact. Je suis bien la duchesse d'Abingdon.

Au même moment, elle lui lanca un magnifique sourire et devint rouge. Qu'elle pouvait être bête.

Si je me puis, Que faites-vous ici ?. Vous n'êtes pas avec la famille royale , pour... pour le retour la reine.

Mauvais souvenirs., une journée a oublié, mais qui allait peut-être finir sur une bonne note. Blanche sortit son étalon et ne cessa pas de regarder le prince des Orcades.

" Votre Altesse, Heureuse de vous revoir."

Le jeune prince sourit, puis dit:

- Je n'aime pas tellement lorsqu'on m'appelle ainsi ...
Je crois qu'Émerick ca sera correct ...

Et veuillez m'excuser d'avoir dit: Abingthon

" Si je me puis, Que faites-vous ici ?. Vous n'êtes pas avec la famille royale , pour... pour le retour la reine."

Oui, mais je n'aime pas trop ce genre de banquet ...
Ca me rends las
Et de plus, à cet heure, je viens toujours nourrir ma bête ...
Je le fais moi-même alors si mon cheval est malade, il n'y a que moi qui est fautif ...

Lorsqu'il vu qu'elle sortait son étalon, il fronca des sourcils puis dit:

- Vous partez maintenant?
Pourquoi ?

Et veuillez m'excuser d'avoir dit: Abingthon

Je ne vous en veux pas. Il m'a fallu un temps d'adaptation pour dire ce mot.

Blanche, elle aimait bien les banquets, mais lorsque vous aviez en face de vous une personne que cvous detestiez, c'était moins amusant.

Vous partez maintenant?
Pourquoi ?

Oui. Je n'a plus iren à faire ici. Le roy Mordred m'a demandé de quitter l'Orcanie. Mes raisons aussi me ramène à Camelot. Mon père est mort donc, je n'.ai plus à embêter qui que ce soit.

Blanche avait le coeur gros et ne risqua pas un autre regard. Elle fit plutot avancer sa monture pour s'éloigner du charmant prince.

" Oui. Je n'a plus iren à faire ici. Le roy Mordred m'a demandé de quitter l'Orcanie. Mes raisons aussi me ramène à Camelot. Mon père est mort donc, je n'.ai plus à embêter qui que ce soit "

Émerick ne comprenait pas vraiment pourquoi Mordred voulait la voir partir, mais Émerick ne pouvait accepter ca ...
Puis, lorsqu'elle parla de la mort de son père, il la regarda ...

- Je ...
Je suis vraiment navré ...
Je n'étais même pas au courant de sa mort ...

Il se placa à coté d'elle et posa une main sur celle de la jeune femme ...

- Si vous embêter quelqu'un, ce n'est certes pas moi ...

Il la regarda puis dit:

- Il ne faut pas désobéir au Roy ...
Mais ...
Puis-je vous accompagner un bout de chemin ...
J'Aimerais vous faire un offre ...

J'essaie de tenir cette information secrete. Je n'ai pas envie qu'on le sache.

Blanche essuya la larme qui s'écoulaient de sa joue.

Si vous embêter quelqu'un, ce n'est certes pas moi ...

Blanche ne soucia pas de la main poser sur la sienne. Elle devint plutot rouge.

Il ne faut pas désobéir au Roy ...
Mais ...
Puis-je vous accompagner un bout de chemin ...
J'Aimerais vous faire un offre ...

Vous venez de me le dire. Nous ne pouvons pas désobéir à un Roy, ou a un futur Roy donc je vous donne l'autorisation de m'accompagner durant mon ... bout de chemin.

Blanche lui présenta sa main pour qu'il, en homme galant l'aide à monter.

Je comprends, mais ne vous en faites pas, je ne dirai rien.

" Vous venez de me le dire. Nous ne pouvons pas désobéir à un Roy, ou a un futur Roy donc je vous donne l'autorisation de m'accompagner durant mon ... bout de chemin"

Lorsqu'elle lui présenta sa main, il la prit avec joie et l'aida à monter sur sa monture ...
Il la trouvait extremement belle et ne pu s'empêcher de lui sourire et de devenir rouge lorsqu'elle dit " futur Roy "

Lorsqu'elle fut en selle, il se dépêcha à sortir sa propre monture et l'accompagna ...

- Vous savez, je ne suis pas comme mon cousin ...
Moi, j'accepte la compagnie des autres ...
Alors, si jamais il vous veniat à l'idée de venir aux Orcades, j,en serais très honoré et vous auriez un accueuil plus chaleureux ...

C,est toujours bien apprécié aux Orcades d'avoir des invités ...

Même si elle était habile, Blanche se laissa aider. Elle monta sa monture et lanca un superbe et éclatant sourire au Futur Roy.

Vous savez, je ne suis pas comme mon cousin ...
Moi, j'accepte la compagnie des autres ...
Alors, si jamais il vous veniat à l'idée de venir aux Orcades, j,en serais très honoré et vous auriez un accueuil plus chaleureux ...

Je ne manquerais pas de venir. Je ne doute pas de l'accueil que vous m'aurez faite. J'apprécie votre compagnie Sir Émérick, il est dommage que je quitte si vite. J'aurais aimé resté plus longtemps.

La monture de la jeune femme avancait relativement lente.

C'est toujours bien apprécié aux Orcades d'avoir des invités ...

Et si vous passez par Camelot, , venez me rendre visite a Abindgon .

" Je ne manquerais pas de venir. Je ne doute pas de l'accueil que vous m'aurez faite. J'apprécie votre compagnie Sir Émérick, il est dommage que je quitte si vite. J'aurais aimé resté plus longtemps"

- Vous serez toujours la bienvenue, Blanche ...

C'était la première fois qu'il l'appelait par son prénom ...

" Et si vous passez par Camelot, , venez me rendre visite a Abindgon ."

Je n'oublierai pas ...

Puis, dans un élant de folie, il approcha sa monture de celle de Blanche et déposa un baiser sur les lèvres de la jeune duchesse ...
Il l'aimait, et voulait lui dire depuis longtemps, mais Mordred avait pris les devants ...

Vous serez toujours la bienvenue, Blanche ...

Blanche savoura les paroles du prince.

Je viendrai, c'est une promesse.

L'approche d'Émérick fut plutot subtile, car Blanche n'avait pas prévu une telle approche. Après le baiser, Blanche s'arreta. Combien de personne avait-elle promis un faux avenir. Au debut Mordred, puis Geoffroy et ... et Émérick ?.

Qu'avait-elle fait pour faire tant d malheur ou personne qui l'aimait.

Lorsque leur lèvres se séparèrent, Émerick revint à la réalité et éloigna quelque peu sa monture ...

- Je ...
Je suis vraiment désolé ...
Je ne voulais surtout pas ...

Il était bien conscient de ce qu'il venait de faire et se sentait honteux de l'Avoir fait ...
Certes il L'aimait bien, mais il l'Aimait à ce point ?

oui ...
Au point où il voudrait la voir chaque jour et chaque secondes ...
Il voulait se perdre dans ses yeux, mais en avait-il le droit? ...
Mais elle, qu'en pensait-elle? ...

- Je suis vraiment navré ...

- Je ...
Je suis vraiment désolé ...
Je ne voulais surtout pas

Blanche avait du mal à comprendre les intentions d'Émérick. Lui aussi, il l'aimait. La pauvre enfant ne savait plus quoi faire devant cette situation. Pourquoi devait-elle avoir trois hommes à aimer. Et dont, les intentions étaient indéchiffrables.

Vous êtes pardonné.

Blanche avait peur de prendre n'importe quel chemin. Continuer dans celui où Mordred l'aimait toujours.
ou l'autre qui était aussi noir

Blanche haissait son dilemme.

Je ne vous en veux pas.

Ce baiser lui avait rappelé Mordred. Et chaque fois que ce nom traversait ses pensées, Blanche se rappelait d'un menteur et manipulateur.

Vous ne savez pas à quel point j'ai été blessé, Sir Émérick. Je n'ai plus à donner d'amour à personne.

Émerick était troublé. Il redoutait le moment de devoir lui dire , mais cette fois, c'était innévitalbe ...

- Blanche, je sais que le Roy à posséder votre coeur ...
Tout le monde le dit au chateau, mais je ne vous juge pas sur ca ...
La première fois que vous êtes arrivée au chateau, je n,ai pas eu assez de cran pour vous dire mes sentiments, alors aujourd'hui, c'est moi qui paie ...

Mais sachez une chose, les paroles de Mordred ne valent rien ...
Je ne le juge pas non plus, mais il n'était pas vraiment dans les graces de votre père ...
Voyez ce qu'il vous fait, dès qu'il voit que son couple est en péril, il vous rejette ...

Le jeuen prince se taisit, puis dit:

- Je suis un pauvre idiot ...
Je n'ai pas à vous dire cela ...
Je n'ai pas le droit non plus de vous embrasser, parce que des sentiments fesaient rage en moi ...

La première fois que vous êtes arrivée au chateau, je n,ai pas eu assez de cran pour vous dire mes sentiments, alors aujourd'hui, c'est moi qui paie ...

-Vous n'avez pas pu et c'est normal. Mon père était continnuellement à mes cotées et celui qui aimait sa fille devait absolument passer par lui.

Mais sachez une chose, les paroles de Mordred ne valent rien ...

Blanche était deésemparée. Non, il l'aimait. Elle le savait. Elle voulait se prétendre le contraire, car elle avait pèrdu le père de son enfant. Elle ne pouvait pas se resoucre à la vie cruelle.

Je suis un pauvre idiot ...
Je n'ai pas à vous dire cela ...
Je n'ai pas le droit non plus de vous embrasser, parce que des sentiments fesaient rage en moi ...

Blanche approcha sa monture du jeune prince et l'incita à s'arreter. Elle posa sa main sur sa joue et la caressa.

Vous êtes le prince le plus charmant qui m'ait été présenté. Laissez moi quelques temps pour me remettre de ce lourd épisode.

Le fait de sentir la main de la jeune femme sur sa joue le fit frissonner ..
Il stoppa sa monture et regarda les doux yeux de la jeune duchesse ...

" Vous êtes le prince le plus charmant qui m'ait été présenté. Laissez moi quelques temps pour me remettre de ce lourd épisode

- Je comprends ...
Et j'attenderai le temps qu'il faudra ...

Il savait que Mordred lui avait surement briser le coeur et il trouvait ca innacceptable ...

- J'espere vous voir un jour aux Orcades ...
Et moi ...
Je viendrai un jour à Abingon ...

J'espere vous voir un jour aux Orcades ...
Et moi ...
Je viendrai un jour à Abingon ...

-Je ne manquerai pas d'y aller. Pour l'instant, j'ai plusieurs choses a régler avec le Roy Arthur. Je ne suis pas sorti de l'auberge une fous de plus.

Blanche semblait plus heureuse. On lui accordait de l'importance, mais en tant que femme. Pendant son séjour, elle ferait le tri de ses émotions. Laisser grandir ce qui doit grandir, et puis voyager plus haut nord.

-J'aurais certe un nouveau protecteur d'ici la fin de la journée. Mon père n'était pas dupe. Mon futur passera bientot dans les mains du Roy. Cela sera à lui de voir, comment sera ma future liberté. Je deviens peut-être ambassadrice ? Où ? Qui sait ?

Blanche affciha un dernier sourire et regarda le prince.

M'accompagner jusqu'à la frontière, ou nos chemins finissent-ils ici ?

Je deviens peut-être ambassadrice ? Où ? Qui sait ?

Le jeune prince sourit, puis dit:

Peutêtre ambassadrices des Orcades ...
Qui sait? ...

Il aurait bien voulut, mais peut-être que le harsard allait bien faire les choses et que Blanche devrait resté aux Orcades pendant longtemps ...
Émerick lui accorderait un appartemetns réservé au chateau des Orcades et serait mpeme près à lui donné un duché tout entier ...

M'accompagner jusqu'à la frontière, ou nos chemins finissent-ils ici ?

Je vais vous accompagner ...

peut-être

murmurra-t-elle pour elle -même.

Pourquoi les hommes étaient tous différents? Et pourquoi devait-elle tous les aimer.? Elle semblait être une créature de Dieu qui n'avait qu'un seul but envouter les hommes et laisser mourir d'amour à la fin.

Blanche se sentait mieux lorsque le prince l'assura qu'il l'accompagnait. La reine était fachée contre le roy et rien ne prouvait qu'elle n'aurait pas eu l'intention de lui faire du mal en sachant son depart.

Cela me rassure que vous m'accompagniez sir.

Déjà, ils pénétrèrent dans la foret qui séparaient le royaume de Camelot de L'Orcanie. Blanche était d'un mutisme inquiétant, mais ne voulait pas brusquer aucune discussion. Un triangle amoureux se créaient. Mordred -Blanche-Émérick. Il vait simplement fallu qu'il soit le cousin pour rendre la tache plus ardue.

Cela me rassure que vous m'accompagniez sir.

C'est tout à fait normal, mais dites moi, pourquoi n'avez-vous pas d'escorte ? ...

En fait, c'est ca qui lui posait problème ...
Peut-être que cette routine avait aidé la jeune duchesse, ca rsinon, jamais elle na,urait eut d'escorte jusqu'à la frontière ...

C'est tout de même bizarre qu'on assure pas votre protection ...

Il essayait de faire la conversation pour rendre cette ballade un peu moins banale, mais la duchesse semblait être muette ...

- en tout cas, moi, ca me fait plaisir de vous accompgner et si cela peut vous asurer, alors ca me fait deux fois plus plaisir ...

Ils ont pris les devant. Je ne voulais pas de leur présence. Toujours a vous cibler de question inutile et je ne suis pas très bavarde aujourd'hui.

Raison ignorante, mais Blanche avait eu envie de déchainer sa mechanceté sur son amant qui en bon compte, ne voulait plus d'elle. Sauf qu'Émérick lui avait sauvé la réputation, car elle n'avait pas fait une terrible erreur, Sauf celle du baiser. Mais ce n,était rien de grave, Mordred n'a rien vu et ne saurait que si son cousin en parlait.

Mais votre présene est apprécié, Sir Émérick. Vous m'avez fait de nouveaux sourire et je vous remercie.

Surtout après cette dure journée.J'espère ne pas trop déranger vos plans.

J'imagine que vous aviez fort à faire.

dire que cette crise survennait peu avant le voyage aux Orcades. Blanche soupira et lanca un tendre regard vers le prince.

L'amitié était une chose, mais l'amour était plus compliqué et Blanche s'en voulait de faire tant de mal. Autant au roy qu'au prince. Ceux-ci étaient cousin, par malheur.

Mais votre présene est apprécié, Sir Émérick. Vous m'avez fait de nouveaux sourire et je vous remercie.

Surtout après cette dure journée.J'espère ne pas trop déranger vos plans.

J'imagine que vous aviez fort à faire

- Je suis content de cela, Mademoiselle ...
Et ne soyez pas désolée, je ne fais aps grand chose à cet heure -ci mise à part que je soigne mon cheval ...

Il pasa une main sur l'encolure de l'animal puis dit:

- C'est un pur sang...
Alors je m'éforce de lui faire garder la forme ...

Le votre est également joli ...

* Tout comme vous...*

Il voulait changer de sujet pour ne aps trop se perdre dans ses mots et ses sentiments ...
Alors pourquoi ne pas faire conaitre sa pasion des cheveaux à Blanche?

Cadeau du Roy Arthur. J'étais jeune quand je suis allée vivre à la cour du Roy. Le Roy devait être à peine agé de 25 (tutur n'as que 30 ans) et moi de onze. Je l'aimais bien. Il a été en quelques sortes mon deuxième père. Quand il avait un peu de temps de libre, il m'amenait dans la foret et il m'a fait visiter le lac d'Avalon.Il m'a donné des chevaux, des loups et un sentiment que j'étais importante pour lui et qu'il s'en voudrait s'il me perdait. Ce cheval est aussi un pur race. Un fier gaillard.

Blanche sourit et regarda Émérick.

Cet homme n'est pas si mauvais que l'on crois. Je suis en sorte sa protégée. Il n'aime pas que je sois triste et accorde beaucoup d'importance pour moi. Comme votre mère.

Avez-vous encore vos deux parents, cher sir ?

Blanche et Émérick avancait lentement¸. Blanche avait entendu parlé des Orcades, toute jeune, mais elle n'avait rien vu.

Arthur aimait bien ma présence. J'étais sa petite princesse.

Émérick sourit puis dit :

Ici on dit que le Roy Arthur n'est pas un très bon Roy, mais je ne peux le juger, je ne l'ai jamais rencontré …
Je me fis alors sur ce que vous dites …
Et en effet, c'est un très beau cadeau qu'il vous a fait …

Je me suis permis de l'examiner un peu et ce cheval est en parfaite condition …
Je n'ai jamais vu une bête aussi en forme que celui que vous avez …

Hunter lui, a quelques problèmes avec ses sabots …
Mais je me contente de lui procurer de bons soins …

Avez-vous encore vos deux parents, cher sir ?

Le jeune homme regarda la jeune femme, puis cacha sa tristesse …

- J'ai perdu mon père lorsque j'étais en bas âge et jusqu'à il n'y a pas longtemps, on m,a dit que ma mère était morte, mais ce n'est pas le cas …
En tout cas, ça ne me fait pas grand chose que mon père soit mort, parce qu'il n'était pas vraiment un modèle pour moi, il était plutôt un homme à qui je ne voulais certes pas ressemblé …

Politiquement, il peut être jugé. Amicalement, non. Cet homme est pour moi, la dernière famille qui me reste. Je suis en quelque sorte son unique fille.

Je me suis permis de l'examiner un peu et ce cheval est en parfaite condition …
Je n'ai jamais vu une bête aussi en forme que celui que vous avez …

Après tout mes passe-temps, m'occuper des animaux est ma priorité. Ils sont pour moi le meilleures moyen de s'évader de ce monde de perversion. Ils ne peuvent pas vous mentir, comme les hommes.

Blanche écouta le jeune homme et ne put s'empêcher de chagriner.

Comment est votre mère ?

Ma mère est morte en couche. Ma survie semblait être un fardeau pour mon père. Il avait perdu sa femme. En 17 ans, je n'ai jamais eu un anniversaire normal. Mon père quittait la maison le matin et réapparaissait dans un sale état le soir. Ma tante n'appréciait pas. Le soir de mes 11 ans, j'ai complètement quitté la maison. Je ne voulais pas le revoir ainsi. C'est a partir de ce temps-là qu'Arthur est devenu mon deuxième père. Et puis mon père est mort.