Orage (RP Qui veut)

Maeve n'avait pas traîné. Dès qu'elle et ses hommes avaient investi le château, ils s'étaient empressés de prendre possessions des points clés, et surtout d'envoyer les plus balourds d'entre eux pour débusquer Kaarl et sa douce. Sachant combien certains nourrissaient de griefs à l'égard de celui qui avait pactisé avec l'Orcanie, la capitaine avait prit soin d'envoyer à la recherche de l'ex-roi ceux qui en avaient le plus après lui.
Rien que d'y penser, elle en ricanait d'avance. Dommage pour lui, ils auraient pu faire de grandes choses, s'il n'était si bête, s'il n'avait décidé de s'encroûter, de se... civiliser.
Arpentant la salle du trône, elle jeta un regard mauvais sur la grande table qui devait servir aux repas, sur les sols jonchés de fleurs séchées et de paille fraîche, les tentures sur les murs... La femme de Kaarl avait bien dompté son homme pour l'avoir ainsi converti au mode de vie Orcanien, et Maeve se souvenait encore de lui au bon vieux temps où sa seule pensée ne lui donnait pas envie de lui coller son poing dans la face.

Toubib et Silence étaient penchés sur un plan étalé sur la grande table, et autour d'eux on transportait les blessés, on rassemblait des prisonniers et des vivres, et les couloirs résonnaient des pas lourds et des clameurs des hommes. Parfois, un cri d'effroi perçait le brouhaha ambiant, arrachant un soupire à Maeve. Elle avait ordonné, à mots couverts, de laisser la population féminine en paix, mais elle ne pouvait tenir ses hommes à l'œil de façon perpétuelle. A tout le moins avait-elle insisté -et lourdement- pour que la noblesse soit gardée intacte, car un aristocrate esquinté perd pas mal de valeur, à ce qu'elle avait remarqué.
Mais Kaarl était une exception.

On le jeta à ses pieds comme un vulgaire sac de patates, et il était encore dans le cirage quand Maeve le traîna jusqu'à son trône, en bout de table, sous les rires de ses hommes. Elle le réveilla à coups de claques dans la figure, et lorsqu'il émergea enfin, la jeune femme se fendit d'un salut moqueur.

-Salut, roi des saxons!

Une fois que les cris, les sifflets et autres insultes se turent, la capitaine sourit et lui plaça la lame de sa hache sous la gorge.

-ça fait une paye, Kaarl, comment va ta belle?

La surprise illumina le visage de Kaarl en voyant qu'il avait raté Gunther. Malheureusement il avait perdu l'avantage, dans ce cours instant, et il fut mis sur la défensif. Le combat fut encore long mais il finit par trébucher sur le pied d'un traître.
A ce moment il fut roué de coups…. Mais jamais il ne poussa le moindre son, rendant au centuple les coups qui lui étaient infligés. Puis finalement quelqu'un de plus malin l'assomma.

Lorsqu'il revint a lui, il était traîné par deux hommes, et c'était le cris de femmes violées qui l'avaient réveillé. Mais il était toujours dans le cirage. Il découvrait les saxons qui agissaient comme des pillards, ou qui se soignaient. A ce moment, il découvrit Maeve sur son trône.

On le jeta aux pieds de celle qui était autrefois son amie, et elle lui "offrit" plusieurs claques pour le réveiller.

Salut, roi des saxons!

"Je vois que tu t'imagine déjà Reine."

Répondit-il alors.

"Tu crois que Thomas de Gaurre sera d'accords?"

A ce moment, la lame de la hache se plaça sous sa gorge.

-ça fait une paye, Kaarl, comment va ta belle?

"Il semble que tu te portes comme un charme, ma douce Maeve."

Plaisanta-t-il alors. Kaarl n'était pas Marth, quoiqu'il arrive, il ne ferait pas plaisir a Maeve en se montrant vindicatif. Il valait mieux que ça.

Maeve serra les poings, jusqu'au sang. ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas pu laisser libre court à sa colère; la dernière fois, c'était contre le roitelet d'Austrasie, et elle l'avait fait ramper, le bougre. Mais Kaarl était d'une autre trempe que Marth, et il serait autrement plus difficile de le mettre à genoux, ce qui ne décourageait certainement pas la capitaine.

Elle sourit de toutes ses dents lorsque l'un de ses hommes appliqua une bonne claque au roi déchu, comme par réflexe; on n'avait pas l'habitude d'entendre les prisonniers appeler leur chef "ma douce" et si ce n'était pas l'un d'entre eux qui corrigeait le malotru, ce serait elle, et illico presto.

Elle émit un petit bruit de désapprobation, et son sourire s'élargit, et n'en devint que plus inquiétant. Une flamme folle dansait dans ses yeux gris, comme une lame, ces yeux comme un épée hors du fourreau, prête à mordre la chair.

-Un peu de respect pour le roi, mon gars. C'est un invité de marque...

Un ricanement sauvage lui échappa.

-Il se prétend roi des saxons, voyez-vous ça!

Maeve s'écarta, et dans la salle les conversations baissèrent d'un ton. Toubib et Silence se redressèrent, prêts à regarder le petit manège de leur chef.

-Depuis quand avons-nous besoin d'un roi? D'un roi qui se traîne aux pieds des orcaniens et qui se satisfait des miettes de ce qu'on veut bien lui jeter? Depuis quand les saxons se comportent-il comme des chiens?

Sa voix s'était muée en hurlement de rage en prononçant ces derniers mots.

Elle fit volte-face, et quelques pas rapides l'entraînèrent vers Kaarl, que le saxon tenait toujours en joue du bout de sa lame. La jeune femme le repoussa doucement et saisit le roi à la gorge, serrant de sa main gantée de cuir usé, le forçant à la regarder dans les yeux.

-Depuis quand, Kaarl, as-tu renoncé à toute fierté?

Des rumeurs répondirent aux paroles de Maeve. Des cris, des insultes, la meute de guerre grondait de colère en réponse à celle de leur chef. Il était question d'honneur, de guerre et de sang; il était question de leur fierté de guerriers.

D'un geste brusque, elle le rejeta en arrière et cracha à ses pieds.

-Quand j'en aurai fini avec toi, même les chiens ne voudront plus de ta carcasse puante.

De glace, la voix qui parlait, de glace et de feu, mordante, chargée d'un mépris nourri par un déception bien plus intense. Il n'y a de pire colère que celle qui pousse dans le terreau de la douleur, de l'amitié piétinée au nom de la raison d'état. Elle ne pouvait plus le considérer comme son frère, comme autrefois, pas depuis qu'il les avait tous trahi en se compromettant avec cette femme, depuis qu'il s'était agenouillé aux pieds de Mordred, et qui avait renoncé à se battre.

Il y avait un peu de cela, dans le regard qu'elle posa sur lui. L'ombre de cette désillusion cruelle qui lui crevait le coeur, car il avait été l'une des rares personnes pour qui elle avait ressenti assez de sympathie pour le considérer comme l'un des siens, son seigneur, son ami.
Mais il avait trahi, alors il allait payer.

-Tu sais le sort que l'on réserve aux traîtres, Kaarl. Je ne ferais aucunement preuve de clémence envers toi sous prétexte que je t'ai appelé frère, un jour.

HJ: Ouais Marion is Back!

Kaarl continuait de sourire, et il ne broncha pas sous la mandale d'un prétendu guerrier. Un gayrrier plutôt vu sa façon de frapper.

Et Maeve approcha alors en vociférant, autant la laisser déverser tout son saoul non? Quoiqu'être traité de chien a ça non! Après être traité de traître, ça c'était certain. Les plans de Kaarl, mis a mal par Maeve, incluaient clairement la traîtrise.

"Jamais je ne me suis comporté comme un chien! Si tu souhaites me comparer a un animal, sache que je prendrais plutôt exemple sur le vicieux serpent. C'était inutile de te l'expliquer, tu n'aurais su ou tenir ta langue, ou tu n'aurais pas approuvé, mais sache le! La guerre entre Arthur et Mordred est inévitable. Pourquoi? Parce que Mordred ne peut supporter d'avoir un suzerain et que, de plus, il désire mettre toute la Bretagne a ses pieds. Ce que je comptais faire c'était justement attendre le bon moment pour le trahir. L'Orcanie décapitée, Kaamelott exsangue a cause du conflit contre son plus puissant vassal, la Bretagne aurait été a nous. Mais tu as préféré t'acoquiner avec Thomas de Gaurre, n'est-ce pas?"

Il voyait la douleur dans le regard de Maeve. Cette douleur faisait écho en lui.

"Tu es une guerrière nomade. Tu ne veux pas de terres et tu te moques des conquêtes tant que tu peux combattre. Moi je suis un conquérant. j'ai voulu nous établir un territoire. J'ai acquis Gaurre a moindre coût en faisant travailler Mordred pour moi, tout en lui faisant croire l'inverse. Maintenant je me montrais patient et j'attendais le bon moment, quand tu es venue combattre, en simple mercenaire. Je combat pour les intérêts de mon peuple. Prendras-tu la relève?"

Kaarl soupira alors.

"J'ai peut-être l'âme d'un traître mais c'est Mordred qui devait en être la victime. Je n'ai jamais voulu te blesser Maeve. Je… Même aujourd'hui, j'avoue t'aimer comme une sœur."

Il la regarda alors et se montra triste:

"Tu risques de regretter les actes que tu vas commettre. Mais quoiqu'il en soit je te pardonne. Tu t'es fait embobiné par les beaux discours de Thomas de Gaurre. Dommage, je pensais que tu me faisais suffisamment confiance pour te douter que j'avais toujours un plan de secours."

Mensonge ou vérité? A Maeve de le déterminer.

Maeve crut qu'elle allait exploser. Autour d'elle, tout le monde recula d'un pas; elle avait tourné le dos à Kaarl, et quand il parla, tous purent voir le tressaillement nerveux qui la secoua, et ses poings qui se serrèrent lentement. Là, on avait passé un point de non retour et rien ne pouvait plus mettre un frein à la colère de la capitaine. Douloureuse rage qui la saisissait, car elle ne pouvait pas supporter d'entendre ces mots-là de la bouche de celui qui les avaient trahis, qui mentait, encore et encore, qui essayait comme un lâche de sauver sa peau alors que personne ne l'épargnerait, qui se tortillait comme un ver pour se justifier et limiter les dégâts.

Elle fit volte face soudainement, et sa hache vola, pour se planter avec un bruit sec à quelques centimètres du visage de Kaarl.

-Je t'aurais bien fendu le crâne, fils de rien. Mais ce serait encore un sort trop doux pour toi.

Maeve s'avança pour récupérer son arme, et ses yeux brillaient d'un feu dément, le même qui avait étincelait des mois plus tôt, lorsqu'elle s'était acharnée à réduire Marth en bouillie sanglante. Kaarl était d'une autre trempe, bien plus solide, une force de la nature qui lui donnerait du fil à retordre mais ce n'était pas un problème.
Son visage, enflammé d'une joie mauvaise, se pencha vers lui.

-Je n'ai pas besoin de toi pour savoir ce que je dois faire. Je n'ai pas besoin de toi, tout court.

Lorsqu'elle lui avait fait ses adieux, bien longtemps auparavant, elle s'était demandé si elle arriverait encore à le regarder dans les yeux, parce qu'elle aussi, et eux tous, l'avaient trahi, lui. Elle s'était demandé si elle arriverait à porter la main sur lui et à faire couler le sang de celui qui avait été son seigneur.

La question, à cet instant là, ne se posait même plus.

Ses mains s'étaient refermées sur son cou et elle serrait, ses yeux fous plantés dans ceux de Kaarl, décidée à le regarder mourir, lentement.

-Sache que je ne regrette rien, jamais, siffla-elle entre ses dents. Et tu le savais, idiot que tu es, tu savais que dès lors que je t'ai quitté, à Warminster, nous étions devenus des ennemis. Dès l'instant où j'ai renié mon serment nous étions dans deux camps opposés mais toi tu as été trop stupide pour comprendre!

Et ses poings serraient, serraient toujours plus fort, et son regard de fer était un brasier de rage, de folie, de douleur. Elle ne regrettait pas, non, pas de remord, rien de cela. Juste la colère. Pure, insensée, sauvage, meurtrière.

hp : et si tu essayais un bon coup de genoux là où ça fait mal ? Tu abandonnes un peu vite pour un guerrier mon bonhomme!

HJ: Heu sur une femme ça marche? et heu au fait j'y pense, je pensais que c'était dit mais en relisant j'ai pas vu: j'ai pas les mains liées?

Un silence de mort était tombé dans la salle, et plus personne ne semblait croire que Kaarl allait s'en tirer, même si beaucoup pariaient gros sur le fait qu'il n'allait pas se laisser étrangler de la sorte sans essayer de repousser Maeve.
Ses paroles ne servaient à rien d'autre qu'à aiguiser encore plus la colère de la jeune femme qui sentait sous ses doigts battre le sang du saxon, entre ses mains qui se crispaient de plus en plus sur son cou épais. Elle sentait la puissance, la force et la vie qui couraient en lui et ça la rendait d'autant plus folle de rage qu'elle reconnaissait volontiers les qualités de chef et de guerrier de celui qu'elle voulait tant faire souffrir pour apaiser son courroux.

Quel gâchis... Et puis, alors qu'elle semblait faiblir un instant, Kaarl se redressa. Elle ne pouvait pas vraiment lutter et elle le savait, il était bien plus grand qu'elle et la dépassait de la tête et des épaules, mais beaucoup avaient apprit à leurs dépends que la saxonne compensait sa petite taille par la hargne et la férocité.

Seulement, elle s'attendait à tout, sauf à ça.

Toubib, Shed et Silence se levèrent d'un bond quand ils comprirent, et beaucoup des hommes de Maeve portèrent la main à leur épée. Des clameurs retentirent, quelques rires, féroces. ça, c'était la dernière chose à faire. Pas un homme n'avait posé la main sur elle sans payer le prix fort, et il fallut à Trois-Doigts toute sa présence d'esprit pour se rappeler que dès que Kaarl la lâcherait, elle le tuerait sur place. Et Kaarl devait avant tout rester en vie.

Maeve accusa le choc, un instant déboussolée par cet acte qui la plongea dans un état qui était au-delà de la colère. ça remuait d'autres choses, bien plus anciennes, plus profondes et plus douloureuses, aussi. Les ombres du passé, l'ombre d'une nuit terrible, le souvenir de la raison de cette haine féroce envers toute l'humanité, cette colère perpétuelle qui la rongeait depuis ce jour. Elle n'était qu'une enfant, alors. Et le sang qui avait coulé cette nuit là avait tué en elle toute innocence car elle avait su, alors, ce que c'était de vivre dans ce monde là.
Ses mâchoires se refermèrent brutalement, comme un réflexe, sur les lèvres de Kaarl, et c'est la bouche ruisselante de sang qu'elle s'écarta de lui, avant de frapper, de toutes ses forces, en plein dans son visage. Son genou accompagna le mouvement, dans le bas-ventre, et elle se déchaîna, frappant à l'aveuglette avec un hurlement de rage qui ne semblait pas émaner d'une gorge humaine.

Shed s'était glissé derrière Kaarl, et d'un coup derrière l'articulation le fit tomber à genoux. Il se plaça prestement entre Maeve et lui, et saisit le poignet de la jeune femme, tout en sachant ce que ce geste lui coûterait.

-Capitaine! Il nous le faut vivant, rappelez-vous. Mort, il ne sera d'aucune utilité.

Maeve cracha à ses pieds, souillant de rouge le sol dallé, et essuya son menton ruisselant.

-Tondez-le, mettez-le aux fer et marquez-le comme les autres.

HJ: C'est Kill Karl Première Partie qu'il aurait fallu appeler ce topic... ^^
Ouah! trop fort! Deux références a David Carradine en 2 posts ^^


Kaarl fut surpris par deux choses. Premièrement? Les lèvres de Maeve lui semblaient délicieuses. Deuxièmement. Elle le mordit jusqu'au sang, si bien qu'ils se repoussèrent mutuellement. Et là il fut roué de coups. Seul Shed se glissa entre eux, non sans avoir fait tomber Kaarl.

Ainsi il plaidait pour sa survie? On souhaitait donc qu'il serve d'otage. Par conséquent il serait frappé et traité sans ménagement mais on le garderait en vie. N'était-il pas Roi?

Maintenant il fallait savoir ce qu'ils exigeraient. Et à qui ? Anna risquait de faire une bêtise pour sauver le père de ses enfants.

Sans ménagement il fut alors emmené aux cachots. Il voyait le "coiffeur" et son rasoir, l'homme et le fer, mais surtout les prisonniers, beaucoup de femmes et d'enfants, mis aux fers. Ainsi les hommes étaient souvent morts et Maeve se gardait une base de domestiques, d'esclaves, voir de divertissement pour ses soldats. Écœurant.

On jeta Kaarl, qui s'agrippa à l'enclume. Il sentit le fer approcher et… Il se retourna, saisit le fer, et marqua le visage de l'homme qui allait le marquer.

"Je ne me laisserai pas faire."

Dit-il, maniant l'espèce de tisonnier comme un bâton serait manié par un… adepte du Kung Fu (hj: oh troisième référence ^^).

"Alors laissez moi sortir et je ferai en sorte que Maeve ne se doute pas que vous m'ayez laissé m'échapper. Sinon, tant pis pour vous."

Kaarl semblait animé d'une flamme au moins aussi forte que celle de Maeve: mais ce n'était pas la haine, c'était l'appel de la liberté, le désir de revoir sa femme et son fils. Et il était donc prêt a tout pour ça.

hj : Maeve?...j'peux lui couper une main?

HJ: J'en ai besoin... Et tu vas pas te plaindre qu'un guerrier Saxon se montre dangereux alors que tu te plaignais que Marth était mou ^^

Allez! la gauche seulement!

HJ: Onan! J'en ai besoin! Et faut que j'arrête les références culturelles foireuses ^^ Même si ça progresse, passer de David Carradine a l'ancien testament ^^

hj: moi je voulais juste le pendre par les pieds pour qu'il arrête de taper mes hommes, mais bon faut pas trop esquinter le joujou, après on pourra plus rien en faire.

et puis je me plains de tous tes persos, chéris, marth était mou et kaarl est totalement suicidaire, j'y peux rien.

HJ: Kaarl est pas suicidaire, il est saxon: pas ma faute si la barde du Tyran Orcanien fait pas la différence

hj : Bon en tout cas Kaarl va devoir assumer la portée de son geste...donc il va se faire marquer au visage!
Oeil pour oeil etc...

HJ: Alors toi...

hj : Toi t'assume jamais (tes persos en tout cas) :p
J'espère pour toi que tu fais pas de même irl!


La résistance de kaarl, aussi brave soit elle, était surtout bien vaine...et ne ferait qu'accroître la haine de ses ennemis à son encontre.Le messire devrait en payer le prix, et la facture n'en finissait plus de s'envoler.
Tandis qu'on évacuait le soldat touché au visage, qui beuglait comme un damné, une dizaine de ses camarades pénétraient dans la cellule...
Malgré les pulsions homicides de la plupart d'entre eux...ils devraient se réfréner et se contenter de neutraliser leur ancien maître.
Les coups allaient pleuvoir et Kaarl plierait comme fétu de paille écrasé par la grêle.
Voici ou un orgueil excessif mène certains : à la chute, au désastre et à la souffrance (voir à l'humiliation).
Car Aegirson souffrirait! au centuple.
Dès maintenant.


hj : allez! on fait ça avec les dés! si tu me bat tu repousses tes assaillants, dans le cas inverse tu es maîtrisé. (et là! oulala pauvritoooo! mdr!)
Si tu emportes cet engagement nouveaux lancers, pour déterminer...si tu peux t'échapper :p si c'est le cas troisième engagement (ça serait trop simple sinon!) ou j'essaie de te rechopper, si tu gagnes encore on va dire que c'est bon (pour toi)!
Ok?^^

Le membre 'Le Maître du Jeu' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Combat/Toucher' : 2