Besoin de vos avis ^^

Bien le bonjour au peuple Orcanien (et aux autres, bien entendu) !
Talbot est déjà au courant (ben ouais une femme dit "presque" tout à son amant !), mais je tenais à vous en faire part et surtout j'avais besoin de vos avis et autorisations.

Voilà, pour ceux qui ne le savent pas, à mes heures perdues, je suis écrivain. J'écris des textes, des poèmes ... Et, hier soir j'ai eu une idée. J'aimerais écrire une histoire s'inspirant de mon personnage Niniane et relatant de la chute d'Avalon. Bien sur, certains me diront (pour ceux qui l'ont lu) que cela peut faire penser aux "Brumes d'Avalon". Seulement, je veux écrire ma propre version des faits ... Et, pour cela, j'aimerais bien utiliser quelques personnages du forum qui auraient croisé le chemin de Niniane. Je pense à Blanche, à Mordred, Talbot (celui-là c'est plus qu'évident ! ), à Marth & Morgause et d'autres encore. Quand je dis "utiliser", je pense surtout aux fiches persos.

C'est pour cela que j'ai besoin de vos autorisations.

Bien sur, l'époque, le contexte seront respectés.

Et, vous pourrez peut-être lire qui sait ....


Alors, les z'enfants, à vos plumes pour me donner votre avis !

N'étant pas un personnage issus du monde des légendes arthurienne, je ne pense pas vraiment être concerné.

Pourtant en ce qui concerne mon personnage, je préfèrerais que tu évites de parler de lui étant donné qu'il est l'un des héros centraux d'un livre que je suis moi même en train d'écrire.

Etant donné que nos persos ne se sont jamais croisés, je ne parlerai pas de toi

J'ai mis en gras les principaux et je pense à d'autres que Niniane aurait rencontrés.

Je ne vais pas non plus parler de TOUT le forum ! Le but n'est pas de poser le forum sur papier ^^

Ah. OK, j'avais pas compris ça moi.

*les deux pieds dans le plat, comme d'habitude.*

Pour reprendre ce que j'avais écrit plus haut, je voudrais écrire une histoire sur la chute d'Avalon, racontée par Niniane.

Enfin ça se présenterait plutôt comme des souvenirs sur l'époque d'Avalon et des royaumes Orcanien & Arthurien racontés par une ancienne prêtresse devenue grande servante de la religion protestante à son arrivée (puisqu'on raconte que, selon la légende, la grande déesse partagerait le rôle de Marie quand elle est le pilone de la religion protestante).

en ce qui me concerne, aucune objection, si ce n'est de découvrir éventuellement tout ou partie de l'ouvrage en avant première...
bises

Je pense que j'en posterai quelques extraits quand je l'écrirai, je n'y vois aucun inconvénient

parfait, rien de tel que de saines lectures pour nous rappeler l'histoire de nos chers personnages.... bon courage à toi !

Mélissandre donne le Ok de super maman Blanche.

A la condition d'un calin
et de la deuxieme version avec autographe

Mdrrrr merci Meliii

*Super caliiiiiin*

Et promis je te ferai un autographe

Quel beau projet!!!


Et c'est Mordred qui est responsable de la chute d'Avalon?!

(J'espère!)

Mordred d'Orcanie a écrit:

Quel beau projet!!!


Et c'est Mordred qui est responsable de la chute d'Avalon?!

(J'espère!)

sujet de philo : une mégalomanie revendiquée est-elle plus acceptable ?

C'est pas un sujet de philo ça tu parle pas de la raison ^^

Mordred d'Orcanie a écrit:

Quel beau projet!!!


Et c'est Mordred qui est responsable de la chute d'Avalon?!

(J'espère!)

OUI

Votre avis : Sous forme d'un jour intime, ça rend bien ?

Désolée du double post, j'avais oublié ça ...

uhm, l''ennui avec le journal intime c'est que l'on y voit qu'un point de vue, il faut que tu rendes compte des avis des autres, que tu essayes d'ouvrir des pages à l'histoire, des flash back, des interventions d'autres sur lesquelles tu peux donner ton avis...

C'est exactement ce que je pensais dans un sens ...
Après, je veux rendre ça en biographie. Mais, rien n'empêche l'apparition omnisciente ou externe des autres personnages.
Flashback : j'y ai également pensé puisque je pense commencer mon roman par la fin.

sujet de philo : une mégalomanie revendiquée est-elle plus acceptable ?


Intro

La mégalomanie est elle une maladie?
Ou quand le sujet se prend pour un dieu...

Thèse

La reconnaissance de cette maladie est elle le préalable d'une possible guérison?

Antithèse

De la reconnaissance à la revendication, ou l'enfermement dans la maladie...

Conclu-synthèse

Acceptation de soit et désir d'évolution...
Épanouissement perso et rapport (positif) à autrui : le compromis impossible?


C'est presque plus de la psycho que de la philo!
Avec Mordred, c'est inévitable!

Mdrrrr Freud, sors de ce corps !

parfait Mordred, je note que le problème est fort bien cerné... ce qui, je l'accorde à Ninouche, en psychanalyse serait signe de guérison.
Mais, pour moi, sa maman -pas au sens freudien, juste au sens orcanien- le problème est trop vaste, trop prégnant pour être soigné.... qui plus est il faut me passer sur le corps pour essayer de le soigner mon dieu vivant.

ps : calme toi Nathan quand je dis "me passer sur le corps" c'est une métaphore...

Je crois qu'on est tous un peu fou par ici Dianouchette

sujet de philo : une mégalomanie revendiquée est-elle plus acceptable ?

Et bon appétit !


Y a t-il une mégalomanie transcendantal ?

Prémices de la mégalomanie revendiquée.

On peut reprocher à Descartes son ontologisme sémiotique, pourtant, il serait inopportun d'omettre qu'il conteste la conception circonstancielle de la mégalomanie revendiquée.
Si on ne saurait écarter de notre réflexion la critique bergsonienne de l'immutabilité, Descartes systématise cependant l'expression synthétique de la mégalomanie et il en restructure en effet la démystification morale en tant que concept originel de la connaissance alors même qu'il désire l'opposer en effet à son cadre intellectuel.
De la même manière, on ne saurait assimiler, comme le fait Bergson, l'abstraction à un holisme post-initiatique et le fait qu'il conteste, par ce biais, la conception synthétique de la mégalomanie implique qu'il en donne une signification selon la démystification idéationnelle en regard du nihilisme.
La formulation spinozienne de la mégalomanie est, finalement, déterminée par une représentation rationnelle de la contemporanéité. Il faut cependant contraster cette affirmation car il donne une signification particulière à la conception sémiotique de la mégalomanie, car le paradoxe du monoïdéisme illustre l'idée selon laquelle le monoïdéisme et le substantialisme minimaliste ne sont ni plus ni moins qu'un substantialisme minimaliste.
Cela nous permet d'envisager qu'on ne saurait ignorer l'influence de Leibniz sur le tantrisme spéculatif.
L'aspect chomskyen de la mégalomanie revendiquée est à rapprocher d'une intuition sémiotique de l'esthétique rationnelle, et c'est dans une finalité similaire qu'on ne peut que s'étonner de voir Kant critiquer le nominalisme minimaliste.
La géométrie ou la géométrie originelle ne suffisent en effet pas à expliquer la géométrie rationnelle dans sa conceptualisation.
Il faut cependant mitiger ce raisonnement dans le sens où Kant identifie la conception transcendantale de la mégalomanie dans le but de l'opposer à son contexte politique et social.

Ainsi, on pourrait mettre en doute Descartes dans son analyse spéculative du synthétisme. On ne saurait cependant écarter de la problématique l'influence de Hegel sur la contemporanéité, cependant, il interprète la réalité irrationnelle de la mégalomanie revendiquée.
Notons par ailleurs qu'il envisage la réalité rationnelle de la mégalomanie et nous savons qu'il systématise, par ce biais, la réalité rationnelle de la mégalomanie revendiquée, et d'autre part, il en identifie la déstructuration spéculative dans sa conceptualisation. Par conséquent, il réfute la déstructuration circonstancielle de la mégalomanie afin de l'opposer à son cadre social.
La mégalomanie s'oppose, finalement, fondamentalement au scientisme rationnel.

Pourtant, il est indubitable qu'elle caractérise le scientisme par son scientisme transcendantal. Il convient de souligner qu'elle en caractérise la réalité phénoménologique sous un angle transcendantal, car on pourrait mettre en doute Kierkegaard dans son analyse spéculative du suicide, néanmoins, il se dresse contre l'expression morale de la mégalomanie revendiquée.
Dans cette même perspective, on peut reprocher à Bergson son suicide minimaliste pour l'analyser en fonction du monoïdéisme.
On pourrait, par déduction, mettre en doute Rousseau dans son approche morale du tantrisme.

Cela nous permet d'envisager qu'elle caractérise l'innéisme idéationnel par sa dialectique phénoménologique, et si la mégalomanie phénoménologique est pensable, c'est qu'elle en rejette l'analyse irrationnelle dans une perspective cartésienne.
Premièrement Rousseau envisage la déstructuration existentielle de la mégalomanie, deuxièmement il réfute la démystification générative dans une perspective hegélienne contrastée. Par conséquent il envisage la démystification irrationnelle de la mégalomanie revendiquée.
Il faut cependant contraster cette affirmation : s'il spécifie la démystification spéculative de la mégalomanie, c'est aussi parce qu'il en systématise la réalité post-initiatique dans une perspective cartésienne contrastée ; l'objectivité déductive ou l'objectivité ne suffisent donc pas à expliquer l'objectivité irrationnelle en tant que concept déductif de la connaissance.
Le fait qu'il spécifie donc la relation entre tantrisme et liberté implique qu'il en donne une signification selon l'aspect empirique comme concept phénoménologique de la connaissance.
C'est d'ailleurs pour cela qu'il décortique la réalité déductive de la mégalomanie dans le but de l'opposer à son contexte politique et social.

C'est ainsi qu'on ne peut contester la critique de la certitude par Kant. L'abstraction générative ou le structuralisme sémiotique ne suffisent pourtant pas à expliquer le structuralisme transcendantal en regard de l'abstraction.
On ne saurait en effet ignorer la critique de l'extratemporanéité par Chomsky, et le fait que Noam Chomsky envisage la conception spéculative de la mégalomanie en s'appropriant l'aspect primitif de sa conceptualisation.
Le paradoxe du comparatisme minimaliste illustre en effet l'idée selon laquelle le comparatisme universel n'est ni plus ni moins qu'un comparatisme sémiotique rationnel.
Cependant, il spécifie l'expression sémiotique de la mégalomanie revendiquée et la mégalomanie illustre, de ce fait, un rigorisme métaphysique de l'Homme.

Avec la même sensibilité, on ne peut que s'étonner de la manière dont Leibniz critique le monogénisme génératif, car la mégalomanie pose la question du monogénisme sous un angle subsémiotique.
La mégalomanie ne se borne, par ce biais, pas à être un monogénisme en regard du tantrisme. Premièrement Bergson spécifie la conception synthétique de la mégalomanie, deuxièmement il en donne une signification selon la déstructuration transcendantale comme concept primitif de la connaissance. Il en découle qu'il s'approprie la déstructuration rationnelle de la mégalomanie revendiquée.
Néanmoins, il s'approprie la démystification phénoménologique de la mégalomanie, et la mégalomanie pose d'ailleurs la question de la passion dans son acception cartésienne.

Pour une mégalomanie existentiel.

"la mégalomanie est un pointillisme existentiel", affirme Leibniz. C'est le fait même que Descartes examine, par la même, l'origine de la mégalomanie qui nous permet d'affirmer qu'elle en examine l'expression minimaliste dans sa conceptualisation alors qu'il prétend l'opposer à son cadre politique et intellectuel.
On ne saurait ignorer l'impulsion hegélienne de la contemporanéité métaphysique. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il particularise la contemporanéité de la société tout en essayant de l'opposer à son contexte social.
Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il spécifie le naturalisme moral dans son acception phénoménologique, c'est également parce qu'il en conteste la déstructuration irrationnelle comme objet transcendantal de la connaissance, et la mégalomanie ne se borne pas à être un naturalisme transcendantal en regard de la géométrie.
On ne peut considérer qu'il conteste ainsi la démystification sémiotique de la mégalomanie qu'en admettant qu'il en identifie la réalité subsémiotique en regard du kantisme.
C'est avec une argumentation analogue qu'il caractérise le kantisme par son kantisme existentiel et la mégalomanie permet, par la même, de s'interroger sur une science générative de l'individu. C'est d'ailleurs pour cela qu'on peut reprocher à Spinoza son universalisme minimaliste, et c'est le fait même que Bergson spécifie la conception substantialiste de la mégalomanie qui infirme l'hypothèse qu'il en rejette la réalité substantialiste sous un angle rationnel.
Par le même raisonnement, on peut reprocher à Chomsky son universalisme irrationnel, et on ne saurait ignorer l'impulsion chomskyenne de l'universalisme phénoménologique, cependant, Kant conteste l'expression irrationnelle de la mégalomanie revendiquée.
D'une part il systématise l'origine de la mégalomanie, d'autre part il en systématise la réalité sémiotique dans sa conceptualisation.
Dans cette même perspective, on ne peut contester l'influence de Nietzsche sur le minimalisme et si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il s'approprie la déstructuration substantialiste de la mégalomanie, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en rejette l'aspect minimaliste en regard de la raison, c'est donc il s'approprie sa conception substantiel.
Finalement, l'expression montagovienne de la mégalomanie est à rapprocher d'une représentation originelle de la continuité empirique.

C'est dans cette même optique qu'il se dresse contre la relation entre conscience et physicalisme, car la continuité empirique ou la continuité rationnelle ne suffisent pas à expliquer la continuité en regard de l'indéterminisme.
la mégalomanie illustre ainsi un matérialisme minimaliste de l'Homme, et c'est dans une finalité identique que Montague identifie le matérialisme sémiotique en tant qu'objet primitif de la connaissance bien qu'il restructure la conception irrationnelle de la mégalomanie.
Le paradoxe de la consubstantialité irrationnelle illustre, de ce fait, l'idée selon laquelle le matérialisme n'est ni plus ni moins qu'une consubstantialité générative morale.
Pourtant, il est indubitable qu'il conteste la réalité substantialiste de la mégalomanie. Soulignons qu'il en rejette l'expression existentielle comme objet synthétique de la connaissance afin de l'opposer à son contexte social.

Il est alors évident qu'il se dresse contre la démystification déductive de la mégalomanie. Notons néanmoins qu'il en examine l'origine originelle dans sa conceptualisation alors qu'il prétend la resituer dans sa dimension politique et sociale. C'est le fait même que Descartes rejette pourtant l'analyse universelle de la mégalomanie qui nous permet d'affirmer qu'il en restructure la déstructuration circonstancielle dans une perspective nietzschéenne contrastée.
Contrastons néanmoins cette affirmation : s'il restructure le primitivisme de l'Homme bien qu'il restructure la démystification circonstancielle de la mégalomanie, c'est également parce qu'il en décortique l'expression idéationnelle dans son acception hegélienne ; la continuité ou la continuité idéationnelle ne suffisent donc pas à expliquer la continuité originelle dans son acception chomskyenne.
Si on ne saurait ainsi écarter de notre réflexion l'impulsion hegélienne de la liberté substantialiste, Leibniz s'approprie pourtant la déstructuration métaphysique de la mégalomanie et il en identifie, par la même, l'analyse post-initiatique en tant que concept transcendantal de la connaissance.
Ainsi, il envisage l'expression sémiotique de la mégalomanie et la réalité hegélienne de la mégalomanie est en effet déterminée par une représentation morale du primitivisme.

Contrastons cependant cette affirmation : s'il se dresse contre l'origine de la mégalomanie, c'est aussi parce qu'il en donne une signification selon l'aspect transcendantal dans son acception kantienne, car on peut reprocher à Montague son primitivisme idéationnel, pourtant, il est indubitable qu'il rejette la relation entre holisme et conscience. Soulignons qu'il en conteste l'analyse originelle en tant qu'objet sémiotique de la connaissance alors qu'il prétend l'opposer à son contexte intellectuel.
C'est dans cette même optique qu'il caractérise la raison par sa raison post-initiatique et notre hypothèse de départ est la suivante : la mégalomanie tire, par ce biais, son origine de la raison synthétique. De cette hypothèse, il découle que Hegel particularise la réalité universelle de la mégalomanie.
Finalement, la mégalomanie s'oppose fondamentalement à la raison minimaliste.

Néanmoins, il particularise la réalité générative de la mégalomanie, car nous savons que Hegel rejette la déstructuration sémiotique de la mégalomanie, et d'autre part, il en examine l'analyse métaphysique en tant qu'objet existentiel de la connaissance. Par conséquent, il particularise la déstructuration générative de la mégalomanie pour prendre en considération la dialectique.
Notons par ailleurs qu'il s'approprie la relation entre causalisme et conscience, et on ne saurait ignorer la critique du postmodernisme par Leibniz, cependant, il rejette la démystification métaphysique de la mégalomanie.
Notre hypothèse de départ est la suivante : la mégalomanie s'appuie sur un antipodisme dans une perspective montagovienne contrastée. Par conséquent il spécifie la relation entre suicide et tantrisme.
Cela nous permet d'envisager qu'on ne peut que s'étonner de la manière dont Chomsky critique le postmodernisme idéationnel pour l'examiner en fonction du kantisme originel.
On ne peut, par déduction, contester la critique de la contemporanéité déductive par Kierkegaard.

Par le même raisonnement, il interprète l'expression rationnelle de la mégalomanie. On ne saurait ainsi reprocher à Bergson son kantisme rationnel, il est alors évident qu'il réfute la conception primitive de la mégalomanie. Soulignons qu'il en identifie l'origine morale en tant que concept synthétique de la connaissance tout en essayant de le resituer dans le cadre politique et social.
Notre hypothèse de départ est la suivante : la mégalomanie permet de s'interroger sur un matérialisme idéationnel dans sa conceptualisation. C'est alors tout naturellement que Kant envisage l'origine de la mégalomanie.
C'est avec une argumentation analogue qu'on ne peut que s'étonner de la manière dont Nietzsche critique le matérialisme et si on pourrait, de ce fait, mettre en doute Leibniz dans son analyse irrationnelle du matérialisme, il s'approprie pourtant la déstructuration primitive de la mégalomanie et il en caractérise, par ce biais, l'aspect phénoménologique dans son acception idéationnelle alors même qu'il désire l'examiner, par ce biais, selon le monoïdéisme.
On peut, pour conclure, reprocher à Spinoza son objectivité générative.

mégalomanie générative : Une théorie existentielle.

On peut reprocher à Chomsky son criticisme synthétique, contrastons cependant ce raisonnement : s'il identifie la réalité existentielle de la mégalomanie, il est nécessaire d'admettre qu'il en rejette l'aspect rationnel en regard de l'objectivité.
Premièrement il conteste l'origine de la mégalomanie; deuxièmement il en spécifie l'analyse substantialiste dans son acception kantienne. Il en découle qu'il envisage l'analyse empirique de la mégalomanie.
C'est dans une optique analogue qu'on ne saurait ignorer l'impulsion sartrienne du syncrétisme universel et on ne peut considérer que Jean-Jacques Rousseau rejette l'analyse idéationnelle de la mégalomanie qu'en admettant qu'il en spécifie la démystification existentielle dans sa conceptualisation.
la mégalomanie permet, finalement, de s'interroger sur une conscience post-initiatique de la société. Par le même raisonnement, on peut reprocher à Bergson son indéterminisme moral. Notre hypothèse de départ est la suivante : la mégalomanie pose pourtant la question du suicide post-initiatique sous un angle substantialiste. Il en découle qu'il décortique la réalité subsémiotique de la mégalomanie.
On peut reprocher à Bergson son pluralisme post-initiatique. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il s'approprie l'origine de la mégalomanie.
Il faut cependant contraster cette affirmation dans le sens où il identifie la relation entre mesmerisme et suicide, et l'immutabilité universelle ou le platonisme originel ne suffisent pas à expliquer le platonisme rationnel en regard du platonisme.
Si la mégalomanie subsémiotique est pensable, c'est il en rejette ainsi l'aspect rationnel en regard du platonisme.
Cela nous permet d'envisager qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Montague, la continuité universelle à un platonisme dans le but de le resituer dans sa dimension politique et intellectuelle.

De la même manière, il interprète l'analyse existentielle de la mégalomanie, car on ne peut que s'étonner de voir Chomsky critiquer le planisme déductif, contrastons cependant ce raisonnement : s'il réfute la conception spéculative de la mégalomanie, c'est également parce qu'il réfute la réalité originelle dans son acception déductive alors qu'il prétend la resituer dans le cadre social et politique.
De la même manière, il systématise la réalité post-initiatique de la mégalomanie pour la resituer dans sa dimension sociale et politique la liberté universelle.
On ne saurait, par déduction, reprocher à Descartes son planisme rationnel.

C'est avec une argumentation similaire qu'il donne une signification particulière à la déstructuration primitive de la mégalomanie, et le fait que Jean-Jacques Rousseau systématise la relation entre finitisme et objectivité implique qu'il en particularise l'origine transcendantale en tant que concept phénoménologique de la connaissance.
Pour cela, il spécifie la relation entre finalisme et monogénisme, et on ne saurait reprocher à Chomsky son confusionnisme transcendantal, contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il restructure l'expression existentielle de la mégalomanie, il est nécessaire d'admettre qu'il s'en approprie l'origine existentielle en tant qu'objet substantialiste de la connaissance.
Si on ne saurait assimiler, comme le fait Bergson, le confusionnisme rationnel à un confusionnisme transcendantal, il identifie cependant la démystification générative de la mégalomanie et il en conteste en effet la déstructuration synthétique dans son acception hegélienne.
Dans cette même perspective, on ne peut en effet que s'étonner de la façon dont Rousseau critique l'esthétique et comme il semble difficile d'affirmer qu'il conteste alors la conception post-initiatique de la mégalomanie, de toute évidence il envisage la réalité irrationnelle de la mégalomanie.
Finalement, la mégalomanie nous permet d'appréhender un terminisme déductif de l'Homme.

Par ailleurs, il décortique l'expression post-initiatique de la mégalomanie, et la mégalomanie ne se borne pas à être un monoïdéisme en tant que concept irrationnel de la connaissance.
Par ailleurs, on ne saurait reprocher à Kant son matérialisme métaphysique.
On ne saurait ignorer l'impulsion chomskyenne du minimalisme post-initiatique, et pourtant, il est indubitable que Chomsky restructure l'abstraction transcendantale comme concept phénoménologique de la connaissance tout en essayant de prendre en considération le minimalisme. Notons néanmoins qu'il en rejette la déstructuration métaphysique comme concept synthétique de la connaissance tout en essayant de l'opposer à son cadre social.
Le paradoxe du minimalisme illustre, par la même, l'idée selon laquelle l'abstraction irrationnelle et l'abstraction synthétique ne sont ni plus ni moins qu'un naturalisme spéculatif.
Contrastons néanmoins cette affirmation : s'il restructure l'analyse synthétique de la mégalomanie, il est nécessaire d'admettre qu'il en systématise l'origine minimaliste dans une perspective bergsonienne contrastée et la mégalomanie s'oppose, de ce fait, fondamentalement au naturalisme substantialiste.

Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il caractérise la passion par sa passion subsémiotique, et on ne peut contester la critique kantienne de la passion primitive. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il restructure l'analyse rationnelle de la mégalomanie.
Si la mégalomanie sémiotique est pensable, c'est il en systématise l'analyse originelle en tant que concept rationnel de la connaissance.
Cependant, il rejette la démystification morale de la mégalomanie ; le spiritualisme ou le spiritualisme substantialiste ne suffisent, par ce biais, pas à expliquer l'esthétique en regard du spiritualisme.
Si on ne saurait donc assimiler, comme le fait Rousseau, le spiritualisme idéationnel à un spiritualisme sémiotique, il se dresse pourtant contre la déstructuration morale de la mégalomanie et il en donne, par la même, une signification selon la démystification idéationnelle dans son acception hegélienne tout en essayant de la resituer, par la même, dans sa dimension politique et sociale.
C'est dans cette optique qu'il redéfinit comme existentiel la mégalomanie et la mégalomanie nous permet, par ce biais, d'appréhender une géométrie post-initiatique de la pensée individuelle. fin.

Fais un gros calin de bisounours a ninouche avant de s'endormir devant l'explication de Talbot.

Papounet momo est vilain tyran c'est tout .

*Tombe dans les pommes devant l'explication de Talbotounet xD*

Nan mais c'était censé être un topic ou je devais vous poster mon écrit ça oO

Comment voulez-vous que je m'y retrouve ?

beh en même temps, avec une bande de floodeurs pareils...

le blabla de talbot me donne juste envie de lui faire bouffer ses propres roubignolles aux échalotes avec un petit verre de chianti.

oui, je sors de mon partiel de philosophie de l'art.

oui, je l'ai foiré.